A propos
MARKET ART, une lecture de Claire Astier (2018)
Réf : Blog Avenir de l’Art, juin 2019
FIN DES AVANT-GARDES
J’annonçais en 1979 que l’Histoire de l’art est terminée et que c’était la fin des avant-gardismes des années 1960-70.
Aujourd’hui, il est devenu clair que j’avais vu juste. L’avant-gardisme n’a plus cours, ne fait plus recette.L’histoire de l’art sans grand H continue selon son rythme sociologique fondamental, sans exaspération, sans hystérie, sans fièvre. Chaque artiste fait tant bien que mal son chemin individuel dans une période générale toxique de MARKET-ART.
Réf : Blog Art et Economie, 02/01/2018
L’art c’est l’argent
La domination de l’art américain aura duré les 30 ans d’après-guerre. C’est tout. Et elle devait tout aux artistes et écrivains européens d’après-guerre exilés. C’est le MARKET ART international qui lui a succédé : l’art comme produit financier. Il n’y a plus de centre artistique dominant sur la planète. Ce sont les princes de la finance qui imposent leurs cotes.
Il n’y a plus d’écoles de Paris, de New York, italienne, allemande. Le capitalisme artistique récupère ce dont il peut retirer le maximum de profit, que cela vienne de Berlin, d’Afrique, d’Inde, de Chine ou même de France. La marginalité périphérique n’est plus une fatalité. C’est un énorme changement ! Le market art est plus toxique cependant que ne l’a été l’impérialisme artistique new-yorkais de l’après-guerre, dont les œuvres avaient un incontestable mérite.
Réf : Blog Art et Economie, 28/12/2017
L’ART EST UNE MARCHANDISE
Eric Valz
Ref : Blog Avenir de l’Art, 22/10/2016
Communiqué de presse : Lancement du livre MARKET ART
Aux éditions François Bourin, octobre 2016
Le parfait petit manuel d’alchimie postmoderne pour changer l’art en argent et vice versa.
Ref : Blog Avenir de l’Art, 21/10/2016