
Référence : 22104 Titre : Massacres au Myanmar Date : 2021 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dimensions Signature | Provenance Collection particulière Observations Expositions Expos circulant en Italie Bibliographie Réf : Blog Avenir de l’Art 16/03/2021 URL |

Référence : 22103 Titre : Vivre - Ecriture dans mon atelier d'hiver Date : 2021 Technique : montage Famille/Série Dimensions Signature | Provenance Morin-Heights Québec Observations Montage de 6 photographies Expositions Morin-Heights Québec Bibliographie V/IVRE Réf : Blog Avenir de l’Art 20/03/2021 URL VIVRE ENCORE Réf : Blog Avenir de l’Art 20/03/2021 URL VIVRE: un secret Réf : Blog Avenir de l’Art 21/03/2021 URL VIVRE – ÉCRITURES HIVERNALES 2021 Réf : Blog Avenir de l’Art 25/03/2021 URL |

Référence : 22201 Titre : Mourir - Ecriture dans mon atelier d'hiver Date : 2022 Technique : montage Famille/Série Dimensions Signature | Provenance Morin-Heights Québec Observations Montage de 6 photographies Expositions Morin-Heights Québec Bibliographie L’hiver se meurt Réf : Blog Avenir de l’Art 30/04/2022 URL |

Référence : 22202 Titre : Suis-je une intelligence artificielle ? Date : 2022 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dialogo 1/4 Dimensions 300 x 300 Signature | Provenance Collection particulière Observations reproduit dans Ligeia "Art et futur" p178 Expositions Congrès Timeworld IA Montréal 2022 Bibliographie Intelligence artificielle Réf : Blog Avenir de l’Art 03/05/2022 URL Art et intelligence artificielle, Congrès Timeworld IA 2022 Voir lien Compte rendu de conférences et photo Réf : Blog Avenir de l’Art 08/06/2022 URL DIALOGO entre intelligences artificielles Édition Innovaxiom – TimdeWorld Encadrement/intervention de Georges Lewi. Réf : Blog Avenir de l’Art 20/07/2022 URL |

Référence : 22203 Titre : Je suis un jumeau numérique Date : 2022 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dialogo 2/4 Dimensions 300 x 300 Signature | Provenance Collection particulière Observations reproduit dans Ligeia "Art et futur" p178 Expositions Congrès Timeworld IA Montréal 2022 Bibliographie Je suis un jumeau numérique Réf : Blog Avenir de l’Art 03/05/2022 URL Art et intelligence artificielle, Congrès Timeworld IA 2022 Voir lien Compte rendu de conférences et photo Réf : Blog Avenir de l’Art 08/06/2022 URL DIALOGO entre intelligences artificielles Édition Innovaxiom – TimdeWorld Encadrement/intervention de Georges Lewi. Réf : Blog Avenir de l’Art 20/07/2022 URL |

Référence : 22204 Titre : Je rêve d'être quantique Date : 2022 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dialogo 3/4 Dimensions 300 x 300 Signature | Provenance Collection particulière Observations reproduit dans Ligeia "Art et futur" p178 Expositions Congrès Timeworld IA Montréal 2022 Bibliographie Je rêve d’être quantique Réf : Blog Avenir de l’Art 03/05/2022 URL Art et intelligence artificielle, Congrès Timeworld IA 2022 Voir lien Compte rendu de conférences et photo Réf : Blog Avenir de l’Art 08/06/2022 URL DIALOGO entre intelligences artificielles Édition Innovaxiom – TimdeWorld Encadrement/intervention de Georges Lewi. Réf : Blog Avenir de l’Art 20/07/2022 URL |

Référence : 22205 Titre : Qu'en pensez-vous ? Date : 2022 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dialogo 4/4 Dimensions 300 x 300 Signature | Provenance Collection particulière Observations reproduit dans Ligeia "Art et futur" p178 Expositions Congrès Timeworld IA Montréal 2022 Bibliographie Qu’en pensez-vous? Dialogo 4 de 4 Réf : Blog Avenir de l’Art 03/05/2022 URL Art et intelligence artificielle, Congrès Timeworld IA 2022 Voir lien Compte rendu de conférences et photo Réf : Blog Avenir de l’Art 08/06/2022 URL DIALOGO entre intelligences artificielles Édition Innovaxiom – TimdeWorld Encadrement/intervention de Georges Lewi. Réf : Blog Avenir de l’Art 20/07/2022 URL |

Référence : 22301 Titre : La main de l’artiste est dans sa tête Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 1/41 Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner – Première de la série Expositions Bibliographie Titre et scan : La main de l’artiste est dans sa tête Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22206 Titre : Autoportrait avec Ginette Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 2/41 Dimensions 183 x 122 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait avec Ginette Napoléon, l’exil en Amérique Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22207 Titre : Autoportrait Art, vie, mythanalyse Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 3/41 Dimensions 152 x 92,5 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait Art, vie, mythanalyse Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22208 Titre : Autoportrait incertain Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 4/41 Dimensions 122 x 183 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait incertain Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22209 Titre : Autoportrait Le doute Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 5 et 6/41 Dimensions 2 fois 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner - dyptique Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait Le doute (dyptique) : L’art change le monde. Ou en suis-je dans ma vie ? N’ai-je pas tout faux ? Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22210 Titre : Autoportrait Le monde et moi Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 7 et 8/41 Dimensions 2 fois 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner - dyptique Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait Le monde et moi (dyptique) : Le monde me fabule. Je fabule le monde Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22211 Titre : Autoportrait en feu Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 9/41 Dimensions 76 x 76 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait en feu Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22212 Titre : Autoportrait au miroir Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 10/41 Dimensions 183 x 122 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait au miroir Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22213 Titre : Tout finira Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 11/41 Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Tout finira Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22214 Titre : Autoportrait en St Joseph avec la petite Jesa Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 12/41 Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait en St Joseph avec la petite Jesa Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22215 Titre : Autoportrait en priant Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 13/41 Dimensions 92,5 x 92,5 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait en priant Il faut changer le monde immonde. L'art change plus le monde que l’argent. Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22216 Titre : Autoportrait numérique Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 14/41 Dimensions 92,5 x 92,5 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait numérique Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22217 Titre : Autoportrait en chemin Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 15/41 Dimensions 92,5 x 92,5 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait en chemin Art, Philosophie Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22218 Titre : Autoportrait en artiste Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 16/41 Dimensions 92,5 x 92,5 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait en artiste La peinture me pense. L’émotion me peint. Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22219 Titre : Autoportrait en sociologue Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 17/41 Dimensions 92,5 x 92,5 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait en sociologue Art, avez-vous quelque chose à déclarer ? Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22220 Titre : Autoportrait actif Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 18/41 Dimensions 92,5 x 92,5 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait actif L'art change plus le monde que le béton et le plastique. Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22221 Titre : Ce n’est pas moi ! Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 19/41 Dimensions 92,5 x 92,5 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Ce n’est pas moi ! Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22222 Titre : Autoportrait en pédagogue Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 20/41 Dimensions 92,5 x 92,5 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait en pédagogue Esthétique interrogative. Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22223 Titre : Autoportrait en pharmacien Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 21/41 Dimensions 92,5 x 92,5 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait en pharmacien Réparation, cicatrisation, guérison. Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22224 Titre : Autoportrait tranquille Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 22/41 Dimensions 92,5 x 92,5 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait tranquille L'art change le monde. Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22225 Titre : Autoportrait en livre Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 23/41 Dimensions 92,5 x 92,5 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait en livre Le livre de la vie. Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22226 Titre : Autoportrait premier Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 24/41 Dimensions 92,5 x 92,5 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait premier Art ! Avez-vous quelque chose à déclarer? Tout art est premier. Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22227 Titre : Autoportrait en voyageur éphémère Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 25/41 Dimensions 92,5 x 92,5 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait en voyageur éphémère Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22228 Titre : Autoportrait en plein chaos Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 26/41 Dimensions 92,5 x 92,5 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait en plein chaos Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22229 Titre : Autoportrait Sud / Nord Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 27/41 Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait Sud / Nord Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22230 Titre : Autoportrait XXIe siècle Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 28/41 Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait XXIe siècle Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22231 Titre : Autoportrait brisé Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 29/41 Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait brisé Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22232 Titre : Autoportrait de combat Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 30/41 Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait de combat Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22233 Titre : Autoportrait picassien Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 31/41 Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait picassien Conscience, éthique planétaire d'un monde prodigieux immonde. Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22234 Titre : Autoportrait divergent Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 32/41 Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait divergent Chaos de l'anthropocène ou hyperhumanisme ? Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22302 Titre : Autoportrait en rang de bataille Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 33/41 Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait en rang de bataille Mythanalyse. Esthétique planétaire. Esthétique interrogative. Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22303 Titre : Autoportrait à la valise Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 34/41 Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait à la valise Le chaos de l'anthropocène. Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22304 Titre : Autoportrait flou Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 35/41 Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait flou Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22305 Titre : L’art sociologique est toujours premier Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 35/41 Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : L’art sociologique est toujours premier Art premier sociologique Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22306 Titre : Autoportrait réfléchissant Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 36/41 Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait réfléchissant Les pieds sur terre en plein chaos. Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22307 Titre : Métavers Far West à la menthe Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 38/41 Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Métavers Far West à la menthe Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22308 Titre : Double autoportrait Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 39/41 Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Double autoportrait L’artiste avec le philosophe Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22309 Titre : Autoportrait en alchimiste banquier Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 40/41 Dimensions 92,5 x 92,5 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations A scanner Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait en alchimiste banquier Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22310 Titre : Autoportrait en employé du Bureau d'identité imaginaire Date : 2022-2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Autoportraits 41/41 Dimensions 92,5 x 92,5 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Inscription au dos de la toile : Cet autoportrait clôt la série. 41x2= 82 ans. Expositions Bibliographie Titre et scan : Autoportrait en employé du Bureau d'identité imaginaire Les autoportraits En 2022-2023, m’approchant des 82 ans, j’ai cherché à retraverser ma vie d’artiste et de mythanalyste, me souvenant de mes performances de sociologue, de pédagogue, de pharmacien, d’officier d’état civil, de banquier, de peintre, de voyageur, mes combats, mes questionnements, mes explorations du numérique, des imaginaires sociaux, etc. Travaillant en noir et blanc – sauf quelques exceptions - pour en souligner le caractère méditatif, j’ai décliné ma silhouette dans ces diverses activités, les arrimant à des codes-barres QR pour en préciser les questions, les émotions, les interrogations. Et j’ai soumis ces codes QR à des déformations maximales, sans en casser la lecture, pour en dénoncer le mode de contrôle social, l’usage emblématique de notre société de consommation. Je les ai apprivoisés et soumis pour réaffirmer la liberté de ma vie. Le premier de ces autoportraits déclare que la main de l’artiste est dans sa tête. Le dernier me présente en employé du Bureau d’identité imaginaire. Tous ces codes QR énumèrent les éléments de ma boîte à outils de penseur et d’artiste. J’aurais pu, bien sûr, en figurer davantage. Mais sur deux années, j’ai choisi d’en peindre 41, ce qui n’est déjà pas rien comme inventaire introspectif. 41 parce que c’est l’année de ma naissance : 1941. Aussi parce que j’allais avoir 82 ans, le double, un bon moment pour faire un bilan de vie. Cette série ne peut évidemment pas être fragmentée. Elle doit rester entière, exposée entièrement, comme une sorte de panorama de vie qu’on découvre avec les yeux, la tête et un téléphone mobile permettant de scanner et soupeser les QR. Elle m’a libéré l’esprit pour de nouvelles explorations artistiques et mentales. Réf : courriel du 26/04/2024 |

Référence : 22235 Titre : Les couleurs du monde sont celles de nos mythes Date : 2022 Technique : spray sur toile libre Famille/Série Dimensions 150 x 300 Signature en bas, à gauche | Provenance Collection particulière Observations reproduit dans le livre "Mythanalyse de la couleur" Gallimard Expositions 24Beaubourg Bibliographie |

Référence : 22236 Titre : Les arts sont toujours premiers Date : 2022 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dimensions 40 x 40 Signature | Provenance Collection particulière Observations Expositions Bibliographie L’art change le monde, tweet art et acrylique sur toile Réf : Blog Avenir de l’Art 21/09/2022 URL |

Référence : 22311 Titre : La douleur des vaincus Date : 2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dialogue avec 4 mythes (1/4) Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Dialogue avec 4 mythes Crédit photo Icedmoment Expositions Bibliographie Illustration d’une conférence en visio «Que savons-nous de l’énergie de la mort ? » TimeWorld Energie 2023 Paris URL Complément Dialogue avec quatre mythes Dois-je conclure que l’énergie de la vie et celle de la mort sont la même, celle de la transformation biologique créatrice, sans cesse en renouvellement. Assurément, même si à nos yeux, elle s’exprime de manière opposée. Après ces réflexions, j’ai décidé que l’homme qui parle devait passer la main à l’homme qui peint et qui peut exprimer davantage ses émotions en recourant aux mythes. Parvenu à l’âge de la conscience augmentée, alors que la mort frappe à la porte avec vivacité, je cherche à exprimer comment je ressens physiquement cette insistance. Toujours j’ai pratiqué ce va-et-vient entre la pensée et la peinture. J’ai fait appel successivement au mythe de la Victoire de Samothrace, à celui de l’épée de Damoclès que la mort suspend au-dessus de nos têtes, à Cassandre, la prophétesse des mauvaises nouvelles, condamnée par Apollon à n’être jamais crue et au mythe de Narcisse. J’ai repris mes pinceaux. La première peinture, je l’ai intitulée La douleur des vaincus, pensant à l’ambivalence du mythe qui ne réfère qu’au triomphe des vainqueurs, et oublie qu’il y a donc aussi des vaincus, dont j’ai exprimé la douleur par une touche déchiquetée. La deuxième peinture, je l’ai intitulée Le sourire de Damoclès, qui est perfide et fataliste. Voyez de près le visage de celui qui se sent condamné. La troisième peinture, je l’ai intitulée Ce que m’a dit Cassandre, m’annonçant les statistiques de mon espérance de vie terriblement réduite, que je ne veux pas croire. Voyez la tristesse du visage absorbé dans cette pensée de l’inéluctable, qui me coupe le souffle. Et la quatrième, je l’ai intitulée La colère de Narcisse, la révolte de celui qui se voit dans le miroir de la mort, du mauvais joueur amer, dont l’instinct veut encore vivre le miracle éphémère de la vie humaine. Ainsi vont la vie et la mort. Le ressenti est peut-être plus important que la loi, les fabulations plus puissantes que la raison qui tente de les apaiser. |

Référence : 22312 Titre : Le sourire de Damoclès Date : 2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dialogue avec 4 mythes (2/4) Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Dialogue avec 4 mythes Crédit photo Icedmoment Expositions Bibliographie Illustration d’une conférence en visio «Que savons-nous de l’énergie de la mort ? » TimeWorld Energie 2023 Paris URL Complément Dialogue avec quatre mythes Dois-je conclure que l’énergie de la vie et celle de la mort sont la même, celle de la transformation biologique créatrice, sans cesse en renouvellement. Assurément, même si à nos yeux, elle s’exprime de manière opposée. Après ces réflexions, j’ai décidé que l’homme qui parle devait passer la main à l’homme qui peint et qui peut exprimer davantage ses émotions en recourant aux mythes. Parvenu à l’âge de la conscience augmentée, alors que la mort frappe à la porte avec vivacité, je cherche à exprimer comment je ressens physiquement cette insistance. Toujours j’ai pratiqué ce va-et-vient entre la pensée et la peinture. J’ai fait appel successivement au mythe de la Victoire de Samothrace, à celui de l’épée de Damoclès que la mort suspend au-dessus de nos têtes, à Cassandre, la prophétesse des mauvaises nouvelles, condamnée par Apollon à n’être jamais crue et au mythe de Narcisse. J’ai repris mes pinceaux. La première peinture, je l’ai intitulée La douleur des vaincus, pensant à l’ambivalence du mythe qui ne réfère qu’au triomphe des vainqueurs, et oublie qu’il y a donc aussi des vaincus, dont j’ai exprimé la douleur par une touche déchiquetée. La deuxième peinture, je l’ai intitulée Le sourire de Damoclès, qui est perfide et fataliste. Voyez de près le visage de celui qui se sent condamné. La troisième peinture, je l’ai intitulée Ce que m’a dit Cassandre, m’annonçant les statistiques de mon espérance de vie terriblement réduite, que je ne veux pas croire. Voyez la tristesse du visage absorbé dans cette pensée de l’inéluctable, qui me coupe le souffle. Et la quatrième, je l’ai intitulée La colère de Narcisse, la révolte de celui qui se voit dans le miroir de la mort, du mauvais joueur amer, dont l’instinct veut encore vivre le miracle éphémère de la vie humaine. Ainsi vont la vie et la mort. Le ressenti est peut-être plus important que la loi, les fabulations plus puissantes que la raison qui tente de les apaiser. |

Référence : 22313 Titre : Ce que Cassandre m'a dit Date : 2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dialogue avec 4 mythes (3/4) Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Dialogue avec 4 mythes Crédit photo Icedmoment Expositions Bibliographie Illustration d’une conférence en visio «Que savons-nous de l’énergie de la mort ? » TimeWorld Energie 2023 Paris URL Complément Dialogue avec quatre mythes Dois-je conclure que l’énergie de la vie et celle de la mort sont la même, celle de la transformation biologique créatrice, sans cesse en renouvellement. Assurément, même si à nos yeux, elle s’exprime de manière opposée. Après ces réflexions, j’ai décidé que l’homme qui parle devait passer la main à l’homme qui peint et qui peut exprimer davantage ses émotions en recourant aux mythes. Parvenu à l’âge de la conscience augmentée, alors que la mort frappe à la porte avec vivacité, je cherche à exprimer comment je ressens physiquement cette insistance. Toujours j’ai pratiqué ce va-et-vient entre la pensée et la peinture. J’ai fait appel successivement au mythe de la Victoire de Samothrace, à celui de l’épée de Damoclès que la mort suspend au-dessus de nos têtes, à Cassandre, la prophétesse des mauvaises nouvelles, condamnée par Apollon à n’être jamais crue et au mythe de Narcisse. J’ai repris mes pinceaux. La première peinture, je l’ai intitulée La douleur des vaincus, pensant à l’ambivalence du mythe qui ne réfère qu’au triomphe des vainqueurs, et oublie qu’il y a donc aussi des vaincus, dont j’ai exprimé la douleur par une touche déchiquetée. La deuxième peinture, je l’ai intitulée Le sourire de Damoclès, qui est perfide et fataliste. Voyez de près le visage de celui qui se sent condamné. La troisième peinture, je l’ai intitulée Ce que m’a dit Cassandre, m’annonçant les statistiques de mon espérance de vie terriblement réduite, que je ne veux pas croire. Voyez la tristesse du visage absorbé dans cette pensée de l’inéluctable, qui me coupe le souffle. Et la quatrième, je l’ai intitulée La colère de Narcisse, la révolte de celui qui se voit dans le miroir de la mort, du mauvais joueur amer, dont l’instinct veut encore vivre le miracle éphémère de la vie humaine. Ainsi vont la vie et la mort. Le ressenti est peut-être plus important que la loi, les fabulations plus puissantes que la raison qui tente de les apaiser. |

Référence : 22314 Titre : La colère de Narcisse Date : 2023 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dialogue avec 4 mythes (4/4) Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Dialogue avec 4 mythes Crédit photo Icedmoment Expositions Bibliographie Illustration d’une conférence en visio «Que savons-nous de l’énergie de la mort ? » TimeWorld Energie 2023 Paris URL Complément Dialogue avec quatre mythes Dois-je conclure que l’énergie de la vie et celle de la mort sont la même, celle de la transformation biologique créatrice, sans cesse en renouvellement. Assurément, même si à nos yeux, elle s’exprime de manière opposée. Après ces réflexions, j’ai décidé que l’homme qui parle devait passer la main à l’homme qui peint et qui peut exprimer davantage ses émotions en recourant aux mythes. Parvenu à l’âge de la conscience augmentée, alors que la mort frappe à la porte avec vivacité, je cherche à exprimer comment je ressens physiquement cette insistance. Toujours j’ai pratiqué ce va-et-vient entre la pensée et la peinture. J’ai fait appel successivement au mythe de la Victoire de Samothrace, à celui de l’épée de Damoclès que la mort suspend au-dessus de nos têtes, à Cassandre, la prophétesse des mauvaises nouvelles, condamnée par Apollon à n’être jamais crue et au mythe de Narcisse. J’ai repris mes pinceaux. La première peinture, je l’ai intitulée La douleur des vaincus, pensant à l’ambivalence du mythe qui ne réfère qu’au triomphe des vainqueurs, et oublie qu’il y a donc aussi des vaincus, dont j’ai exprimé la douleur par une touche déchiquetée. La deuxième peinture, je l’ai intitulée Le sourire de Damoclès, qui est perfide et fataliste. Voyez de près le visage de celui qui se sent condamné. La troisième peinture, je l’ai intitulée Ce que m’a dit Cassandre, m’annonçant les statistiques de mon espérance de vie terriblement réduite, que je ne veux pas croire. Voyez la tristesse du visage absorbé dans cette pensée de l’inéluctable, qui me coupe le souffle. Et la quatrième, je l’ai intitulée La colère de Narcisse, la révolte de celui qui se voit dans le miroir de la mort, du mauvais joueur amer, dont l’instinct veut encore vivre le miracle éphémère de la vie humaine. Ainsi vont la vie et la mort. Le ressenti est peut-être plus important que la loi, les fabulations plus puissantes que la raison qui tente de les apaiser. |