
Référence : 22401 Titre : Energie de la vie Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Alphabet mythanalytique Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions TimeWorld Energie, Trois-Rivières, Québec 2024 Bibliographie Ce projet m’obsédait. Comme une peinture pariétale. Et comme un canard pond une poule, je célébrais la vie, mais j’ai pondu un crabe/cancer/fœtus. Cela rejoint mon idée de la continuation de la vie au-delà de notre mort, dans une recombinaison matière/énergie. Réf : Courriel 09/01/2024 Concernant ma série de toiles pariétales (parce que je peins sur de la toile qui a des défauts, plissures comme des parois rocheuses (juste un peu, assez pour le suggérer) pour affirmer que les arts sont toujours premiers (aussi les empreintes de mains) et en y insistant sur le thème mythe/énergie, je suis content des 6 également. Peut-être l’énergie de l’art, jaune comme un Soleil , me plaît particulièrement, la folie du rouge qui danse, la bigarrure aux grosses mains de la démocratie, l’énergie du numérique sur le pariétal, la rareté du monochrome vert, le fœtus rose de la vie qui s’agite, etc . Il y aurait beaucoup plus à dire sur chaque toile, et sur l’ensemble de la série du point de vue de l’exploration des symboliques chromatiques. Si je devais en choisir un, je choisirais le soleil (énergie de l’art) le plus puissant minimaliste. Mais j’aime beaucoup les voir ts ensemble, vraiment! Un grand pas dans mon exploration de ce que je considère comme une avancée dans mon art sociologique (la gouverne des mythes ds nos sociétés actuelles). Outre que je suis actuellement tellement en quête d’énergie pour combattre mon cancer qui m’épuise. C’est une prière vitale intense pour moi. N’oublie pas que tout mythe est une énergie qui prend nom et fait récit collectif, individuellement aussi. Ref : Courriel 27/01/2024 SERIE : Alphabet mythanalytique Je tente de peindre un alphabet mythanalytique pariétal, comme jadis les peintures symboliques des hommes préhistoriques. J’ai découvert chez mon fournisseur de rouleaux de toile à peindre des invendus parce qu’ils ont des défauts : ondulations, plissures raidies, déformations qui me permettent d’imaginer que je peins sur les parois irrégulières des cavernes d’il y a 30 000 ans et m’incitent à simplifier mes gestes et synthétiser les figurations de mes fabulations avec des couleurs monochromes en aplats saturés. Je tends vers un alphabet de lettres reflétant les principales fabulations mythiques du monde actuel. Nous tissons des configurations de mythes et de métaphores qui y réfèrent. Nous organisons nos fabulations, telles un langage pour penser le monde et organiser notre gouverne entrecroisant la démocratie, la liberté, le progrès, la nature, l’économie, le cosmos, l’irrationnel… Un mythe est une énergie qui prend nom et fait récit. Un exemple bien connu : Dieu. TOILE : La vie La vie en rose est une promesse de bonheur. En position fœtale, encore embryonnaire, elle s’agite déjà les mains qui lui bourgeonnent et veut se développer, agir dans le monde qui va bientôt naître à elle. Elle veut se reproduire, multiplier, foisonner. Elle est l’énergie vitale de notre planète, résiliente, conquérante, la colonne vertébrale de l’humanité envers et contre toutes nos faiblesses et perversités. Elle renaît dans la lave noire des volcans, au fin fond des océans près des sources thermiques sulfureuses. Nous la cherchons sur les autres planètes. Elle est l’énigme même de notre condition planétaire. La première lettre de notre alphabet mythanalytique. Réf : Courriel 08/04/2024 Les arts sont toujours premiers URL |

Référence : 22402 Titre : Energie de la nature Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Alphabet mythanalytique Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions TimeWorld Energie, Trois-Rivières, Québec 2024 Bibliographie blessée, possédée, mais encore fleurissante et vive. Réf : Courriel 13/01/2024 Concernant ma série de toiles pariétales (parce que je peins sur de la toile qui a des défauts, plissures comme des parois rocheuses (juste un peu, assez pour le suggérer) pour affirmer que les arts sont toujours premiers (aussi les empreintes de mains) et en y insistant sur le thème mythe/énergie, je suis content des 6 également. Peut-être l’énergie de l’art, jaune comme un Soleil , me plaît particulièrement, la folie du rouge qui danse, la bigarrure aux grosses mains de la démocratie, l’énergie du numérique sur le pariétal, la rareté du monochrome vert, le fœtus rose de la vie qui s’agite, etc . Il y aurait beaucoup plus à dire sur chaque toile, et sur l’ensemble de la série du point de vue de l’exploration des symboliques chromatiques. Si je devais en choisir un, je choisirais le soleil (énergie de l’art) le plus puissant minimaliste. Mais j’aime beaucoup les voir ts ensemble, vraiment! Un grand pas dans mon exploration de ce que je considère comme une avancée dans mon art sociologique (la gouverne des mythes ds nos sociétés actuelles). Outre que je suis actuellement tellement en quête d’énergie pour combattre mon cancer qui m’épuise. C’est une prière vitale intense pour moi. N’oublie pas que tout mythe est une énergie qui prend nom et fait récit collectif, individuellement aussi. Ref : Courriel 27/01/2024 SERIE : Alphabet mythanalytique Je tente de peindre un alphabet mythanalytique pariétal, comme jadis les peintures symboliques des hommes préhistoriques. J’ai découvert chez mon fournisseur de rouleaux de toile à peindre des invendus parce qu’ils ont des défauts : ondulations, plissures raidies, déformations qui me permettent d’imaginer que je peins sur les parois irrégulières des cavernes d’il y a 30 000 ans et m’incitent à simplifier mes gestes et synthétiser les figurations de mes fabulations avec des couleurs monochromes en aplats saturés. Je tends vers un alphabet de lettres reflétant les principales fabulations mythiques du monde actuel. Nous tissons des configurations de mythes et de métaphores qui y réfèrent. Nous organisons nos fabulations, telles un langage pour penser le monde et organiser notre gouverne entrecroisant la démocratie, la liberté, le progrès, la nature, l’économie, le cosmos, l’irrationnel… Un mythe est une énergie qui prend nom et fait récit. Un exemple bien connu : Dieu. TOILE : La nature La Nature est une énergie prodigieuse dont nous ne comprenons encore que des détails, car elle dépasse de beaucoup notre puissance et nos facultés cognitives. Elle déploie généreusement ses feuilles, que nos mains compriment et blessent de tous côtés. Le vert de sa verdure est un symbole de plus en plus fort dans notre environnement urbain et technologique pour compenser son absence. Il suffit sur un banc public à l’évoquer. Partout où elle surgit du bitume, entre deux briques elle est belle. Nous la mettons en pots dans nos maisons. Elle nous procure l’oxygène et l’alimentation qui nous fait vivre. Le mythe de la Nature a fait naître d’innombrables récits les plus divers et contradictoires partout sur la planète depuis que nous sommes hommes. C’est la voyelle E de notre langage mythanalytique. Réf : Courriel 08/04/2024 Les arts sont toujours premiers URL |

Référence : 22403 Titre : Energie du numérique Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Alphabet mythanalytique Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions TimeWorld Energie, Trois-Rivières, Québec 2024 Bibliographie Paon, crevette, Klimt Réf : courriel 14/01/2024 Concernant ma série de toiles pariétales (parce que je peins sur de la toile qui a des défauts, plissures comme des parois rocheuses (juste un peu, assez pour le suggérer) pour affirmer que les arts sont toujours premiers (aussi les empreintes de mains) et en y insistant sur le thème mythe/énergie, je suis content des 6 également. Peut-être l’énergie de l’art, jaune comme un Soleil , me plaît particulièrement, la folie du rouge qui danse, la bigarrure aux grosses mains de la démocratie, l’énergie du numérique sur le pariétal, la rareté du monochrome vert, le fœtus rose de la vie qui s’agite, etc . Il y aurait beaucoup plus à dire sur chaque toile, et sur l’ensemble de la série du point de vue de l’exploration des symboliques chromatiques. Si je devais en choisir un, je choisirais le soleil (énergie de l’art) le plus puissant minimaliste. Mais j’aime beaucoup les voir ts ensemble, vraiment! Un grand pas dans mon exploration de ce que je considère comme une avancée dans mon art sociologique (la gouverne des mythes ds nos sociétés actuelles). Outre que je suis actuellement tellement en quête d’énergie pour combattre mon cancer qui m’épuise. C’est une prière vitale intense pour moi. N’oublie pas que tout mythe est une énergie qui prend nom et fait récit collectif, individuellement aussi. Ref : couriel 27/01/2024 SERIE : Alphabet mythanalytique Je tente de peindre un alphabet mythanalytique pariétal, comme jadis les peintures symboliques des hommes préhistoriques. J’ai découvert chez mon fournisseur de rouleaux de toile à peindre des invendus parce qu’ils ont des défauts : ondulations, plissures raidies, déformations qui me permettent d’imaginer que je peins sur les parois irrégulières des cavernes d’il y a 30 000 ans et m’incitent à simplifier mes gestes et synthétiser les figurations de mes fabulations avec des couleurs monochromes en aplats saturés. Je tends vers un alphabet de lettres reflétant les principales fabulations mythiques du monde actuel. Nous tissons des configurations de mythes et de métaphores qui y réfèrent. Nous organisons nos fabulations, telles un langage pour penser le monde et organiser notre gouverne entrecroisant la démocratie, la liberté, le progrès, la nature, l’économie, le cosmos, l’irrationnel… Un mythe est une énergie qui prend nom et fait récit. Un exemple bien connu : Dieu. TOILE : Le numérique Il est bleu lumineux comme le ciel et comme nos écrans. Il crée avec son code binaire le monde virtuel qui nous fascine, qui nous aspire et nous semble plus euphorique et puissant que le monde réel qui nous résiste. Une main nous attire avec lui vers le futur, mais il doit appeler notre attention critique, car il devient une nouvelle religion, nous le divinisons comme la lumière platonicienne, mais il n’est que de création humaine. Il prête aux excès et illusions de la pensée magique, au meilleur et au pire. C’est pourquoi je le figure comme une crevette qui fait le paon. Réf : Courriel 08/04/2024 Les arts sont toujours premiers URL |

Référence : 22404 Titre : Energie de l'irrationnel Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Alphabet mythanalytique Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions TimeWorld Energie, Trois-Rivières, Québec 2024 Bibliographie Concernant ma série de toiles pariétales (parce que je peins sur de la toile qui a des défauts, plissures comme des parois rocheuses (juste un peu, assez pour le suggérer) pour affirmer que les arts sont toujours premiers (aussi les empreintes de mains) et en y insistant sur le thème mythe/énergie, je suis content des 6 également. Peut-être l’énergie de l’art, jaune comme un Soleil , me plaît particulièrement, la folie du rouge qui danse, la bigarrure aux grosses mains de la démocratie, l’énergie du numérique sur le pariétal, la rareté du monochrome vert, le fœtus rose de la vie qui s’agite, etc . Il y aurait beaucoup plus à dire sur chaque toile, et sur l’ensemble de la série du point de vue de l’exploration des symboliques chromatiques. Si je devais en choisir un, je choisirais le soleil (énergie de l’art) le plus puissant minimaliste. Mais j’aime beaucoup les voir ts ensemble, vraiment! Un grand pas dans mon exploration de ce que je considère comme une avancée dans mon art sociologique (la gouverne des mythes ds nos sociétés actuelles). Outre que je suis actuellement tellement en quête d’énergie pour combattre mon cancer qui m’épuise. C’est une prière vitale intense pour moi. N’oublie pas que tout mythe est une énergie qui prend nom et fait récit collectif, individuellement aussi. Ref : Commentaire 27/01/2024 SERIE : Alphabet mythanalytique Je tente de peindre un alphabet mythanalytique pariétal, comme jadis les peintures symboliques des hommes préhistoriques. J’ai découvert chez mon fournisseur de rouleaux de toile à peindre des invendus parce qu’ils ont des défauts : ondulations, plissures raidies, déformations qui me permettent d’imaginer que je peins sur les parois irrégulières des cavernes d’il y a 30 000 ans et m’incitent à simplifier mes gestes et synthétiser les figurations de mes fabulations avec des couleurs monochromes en aplats saturés. Je tends vers un alphabet de lettres reflétant les principales fabulations mythiques du monde actuel. Nous tissons des configurations de mythes et de métaphores qui y réfèrent. Nous organisons nos fabulations, telles un langage pour penser le monde et organiser notre gouverne entrecroisant la démocratie, la liberté, le progrès, la nature, l’économie, le cosmos, l’irrationnel… Un mythe est une énergie qui prend nom et fait récit. Un exemple bien connu : Dieu. TOILE : L’irrationnel Nous nous croyons modernes, mais nous avons autant de mythes que les Grecs anciens. Nous croyons à la Raison, mais la Raison est aussi un mythe depuis la Révolution française. C’est l’irrationnel plus que la raison qui gouverne encore les sociétés humaines. J’ai peint l’irrationnel en rouge profond, saturé, lourdaud, pour évoquer sa puissance minérale. Il balance sur ses deux pieds, instable dans ses pas de droite et de gauche. Tout ce qui est réel est fabulatoire. Tout ce qui est fabulatoire est réel. Mais il ne faut pas se tromper de fabulation et éviter les hallucinations. Rouge danger ! Réf : Courriel 08/04/2024 Les arts sont toujours premiers URL |

Référence : 22405 Titre : Energie de la démocratie Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Alphabet mythanalytique Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Rémi Quirion Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions TimeWorld Energie, Trois-Rivières, Québec 2024 Bibliographie Concernant ma série de toiles pariétales (parce que je peins sur de la toile qui a des défauts, plissures comme des parois rocheuses (juste un peu, assez pour le suggérer) pour affirmer que les arts sont toujours premiers (aussi les empreintes de mains) et en y insistant sur le thème mythe/énergie, je suis content des 6 également. Peut-être l’énergie de l’art, jaune comme un Soleil , me plaît particulièrement, la folie du rouge qui danse, la bigarrure aux grosses mains de la démocratie, l’énergie du numérique sur le pariétal, la rareté du monochrome vert, le fœtus rose de la vie qui s’agite, etc . Il y aurait beaucoup plus à dire sur chaque toile, et sur l’ensemble de la série du point de vue de l’exploration des symboliques chromatiques. Si je devais en choisir un, je choisirais le soleil (énergie de l’art) le plus puissant minimaliste. Mais j’aime beaucoup les voir ts ensemble, vraiment! Un grand pas dans mon exploration de ce que je considère comme une avancée dans mon art sociologique (la gouverne des mythes ds nos sociétés actuelles). Outre que je suis actuellement tellement en quête d’énergie pour combattre mon cancer qui m’épuise. C’est une prière vitale intense pour moi. N’oublie pas que tout mythe est une énergie qui prend nom et fait récit collectif, individuellement aussi. Ref : Commentaire 27/01/2024 SERIE : Alphabet mythanalytique Je tente de peindre un alphabet mythanalytique pariétal, comme jadis les peintures symboliques des hommes préhistoriques. J’ai découvert chez mon fournisseur de rouleaux de toile à peindre des invendus parce qu’ils ont des défauts : ondulations, plissures raidies, déformations qui me permettent d’imaginer que je peins sur les parois irrégulières des cavernes d’il y a 30 000 ans et m’incitent à simplifier mes gestes et synthétiser les figurations de mes fabulations avec des couleurs monochromes en aplats saturés. Je tends vers un alphabet de lettres reflétant les principales fabulations mythiques du monde actuel. Nous tissons des configurations de mythes et de métaphores qui y réfèrent. Nous organisons nos fabulations, telles un langage pour penser le monde et organiser notre gouverne entrecroisant la démocratie, la liberté, le progrès, la nature, l’économie, le cosmos, l’irrationnel… Un mythe est une énergie qui prend nom et fait récit. Un exemple bien connu : Dieu. TOILE : La démocratie La bigarrure est une couleur parmi les autres, comme le rouge ou le noir. La démocratie est pleine d’énergie, mais elle progresse lentement, comme une tortue, s’agrippant au sol avec ses puissantes pattes de devant. Sa carapace est joyeusement bigarrée comme les populations qu’elle protège. Elle peut y rentrer tête et pattes en cas de danger en s’immobilisant, ou courir au plus vite droit devant elle. La démocratie a la tête coupée. Elle est vulnérable. Réf : Courriel 08/04/2024 Les arts sont toujours premiers URL |

Référence : 22406 Titre : Energie de l'art Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Alphabet mythanalytique Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions TimeWorld Energie, Trois-Rivières, Québec 2024 Bibliographie Concernant ma série de toiles pariétales (parce que je peins sur de la toile qui a des défauts, plissures comme des parois rocheuses (juste un peu, assez pour le suggérer) pour affirmer que les arts sont toujours premiers (aussi les empreintes de mains) et en y insistant sur le thème mythe/énergie, je suis content des 6 également. Peut-être l’énergie de l’art, jaune comme un Soleil , me plaît particulièrement, la folie du rouge qui danse, la bigarrure aux grosses mains de la démocratie, l’énergie du numérique sur le pariétal, la rareté du monochrome vert, le fœtus rose de la vie qui s’agite, etc . Il y aurait beaucoup plus à dire sur chaque toile, et sur l’ensemble de la série du point de vue de l’exploration des symboliques chromatiques. Si je devais en choisir un, je choisirais le soleil (énergie de l’art) le plus puissant minimaliste. Mais j’aime beaucoup les voir ts ensemble, vraiment! Un grand pas dans mon exploration de ce que je considère comme une avancée dans mon art sociologique (la gouverne des mythes ds nos sociétés actuelles). Outre que je suis actuellement tellement en quête d’énergie pour combattre mon cancer qui m’épuise. C’est une prière vitale intense pour moi. N’oublie pas que tout mythe est une énergie qui prend nom et fait récit collectif, individuellement aussi. Ref : Commentaire 27/01/2024 SERIE : Alphabet mythanalytique Je tente de peindre un alphabet mythanalytique pariétal, comme jadis les peintures symboliques des hommes préhistoriques. J’ai découvert chez mon fournisseur de rouleaux de toile à peindre des invendus parce qu’ils ont des défauts : ondulations, plissures raidies, déformations qui me permettent d’imaginer que je peins sur les parois irrégulières des cavernes d’il y a 30 000 ans et m’incitent à simplifier mes gestes et synthétiser les figurations de mes fabulations avec des couleurs monochromes en aplats saturés. Je tends vers un alphabet de lettres reflétant les principales fabulations mythiques du monde actuel. Nous tissons des configurations de mythes et de métaphores qui y réfèrent. Nous organisons nos fabulations, telles un langage pour penser le monde et organiser notre gouverne entrecroisant la démocratie, la liberté, le progrès, la nature, l’économie, le cosmos, l’irrationnel… Un mythe est une énergie qui prend nom et fait récit. Un exemple bien connu : Dieu. TOILE : L’art L’art a remplacé la religion. Il symbolise le mythe de la création humaine incarné par le génie des grands artistes, peintres, musiciens, architectes, cinéastes, écrivains, danseurs. Il aspire à nous donner une image sensible et spirituelle du monde. C’est pourquoi je le peins en jaune lumineux, léger, solaire. Il s’élève vers le ciel, mais à la force de ses mains, qui demeurent humaines. Il a célébré l’animisme, la théologie chrétienne, le roi Louis XIV, la Réforme, et aujourd’hui le capitalisme et la technoscience numérique. Il va continuer à s’élever vers l’éthique planétaire et l’hyperhumanisme. Réf : Courriel 08/04/2024 Les arts sont toujours premiers URL |

Référence : 22407 Titre : La bannière de l'anthropocène Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Alphabet mythanalytique Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Rémi Quirion Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions TimeWorld Energie, Trois-Rivières, Québec 2024 Bibliographie SERIE : Alphabet mythanalytique Je tente de peindre un alphabet mythanalytique pariétal, comme jadis les peintures symboliques des hommes préhistoriques. J’ai découvert chez mon fournisseur de rouleaux de toile à peindre des invendus parce qu’ils ont des défauts : ondulations, plissures raidies, déformations qui me permettent d’imaginer que je peins sur les parois irrégulières des cavernes d’il y a 30 000 ans et m’incitent à simplifier mes gestes et synthétiser les figurations de mes fabulations avec des couleurs monochromes en aplats saturés. Je tends vers un alphabet de lettres reflétant les principales fabulations mythiques du monde actuel. Nous tissons des configurations de mythes et de métaphores qui y réfèrent. Nous organisons nos fabulations, telles un langage pour penser le monde et organiser notre gouverne entrecroisant la démocratie, la liberté, le progrès, la nature, l’économie, le cosmos, l’irrationnel… Un mythe est une énergie qui prend nom et fait récit. Un exemple bien connu : Dieu. TOILE : L’anthropocène En noir, comme le drapeau des pirates sur la mer, l’anthropocène s’annonce comme l’énergie humaine qui serait aujourd’hui plus puissante que la nature. Les mains qui la poussent de l’avant comme un rouleau compresseur pour recouvrir la Terre s’y cassent douloureusement les doigts. C’est un mythe arrogant et dangereux. Le bateau amiral de la nature demeurera plus puissant et vaincra ce mythe pirate des hommes. Réf : Courriel 08/04/2024 Les arts sont toujours premiers URL |

Référence : 22408 Titre : L'énergie manufacturière Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Alphabet mythanalytique Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions TimeWorld Energie, Trois-Rivières, Québec 2024 Bibliographie SERIE : Alphabet mythanalytique Je tente de peindre un alphabet mythanalytique pariétal, comme jadis les peintures symboliques des hommes préhistoriques. J’ai découvert chez mon fournisseur de rouleaux de toile à peindre des invendus parce qu’ils ont des défauts : ondulations, plissures raidies, déformations qui me permettent d’imaginer que je peins sur les parois irrégulières des cavernes d’il y a 30 000 ans et m’incitent à simplifier mes gestes et synthétiser les figurations de mes fabulations avec des couleurs monochromes en aplats saturés. Je tends vers un alphabet de lettres reflétant les principales fabulations mythiques du monde actuel. Nous tissons des configurations de mythes et de métaphores qui y réfèrent. Nous organisons nos fabulations, telles un langage pour penser le monde et organiser notre gouverne entrecroisant la démocratie, la liberté, le progrès, la nature, l’économie, le cosmos, l’irrationnel… Un mythe est une énergie qui prend nom et fait récit. Un exemple bien connu : Dieu. TOILE : Les mains manufacturières L’Homo faber a poursuivi sans relâche sa tâche à travers les siècles de l’Homo sapiens, sapiens sapiens. Dans la grisaille des usines, des grosses machines, des mécanismes, des boulons et des écrous, de la poussière, les mains ont travaillé sans relâche. Tout un siècle d’industrialisation, de travail ouvrier, qui nous a conduit jusqu’à l’intelligence artificielle, et qu’il ne faut pas oublier. Les bras lui poussent de la guitare électrique qu’elles font résonner, pour célébrer ce grand siècle de l’épopée humaine. Un oiseau pousse sa chanson. Deux bras et mains qui appellent aussi à l’aide dans l’ambivalence de la machine qui a sacrifié tant d’hommes. Réf : Courriel 08/04/2024 Les arts sont toujours premiers URL |

Référence : 22410 Titre : La souffrance Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Alphabet mythanalytique Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions TimeWorld Energie, Trois-Rivières, Québec 2024 Bibliographie SERIE : Alphabet mythanalytique Je tente de peindre un alphabet mythanalytique pariétal, comme jadis les peintures symboliques des hommes préhistoriques. J’ai découvert chez mon fournisseur de rouleaux de toile à peindre des invendus parce qu’ils ont des défauts : ondulations, plissures raidies, déformations qui me permettent d’imaginer que je peins sur les parois irrégulières des cavernes d’il y a 30 000 ans et m’incitent à simplifier mes gestes et synthétiser les figurations de mes fabulations avec des couleurs monochromes en aplats saturés. Je tends vers un alphabet de lettres reflétant les principales fabulations mythiques du monde actuel. Nous tissons des configurations de mythes et de métaphores qui y réfèrent. Nous organisons nos fabulations, telles un langage pour penser le monde et organiser notre gouverne entrecroisant la démocratie, la liberté, le progrès, la nature, l’économie, le cosmos, l’irrationnel… Un mythe est une énergie qui prend nom et fait récit. Un exemple bien connu : Dieu. TOILE : La souffrance Elle saigne comme le rouge du sang. Elle nous atteint au cœur de la vie, qui se déforme. Elle coupe les doigts de la main qui appelle à l’aide. La lettre qui le figure se recroqueville sur elle-même, mais prend toute la place dans notre conscience. Le monochrome est lourd., blessé par les plis durcis de la toile. Je l’entends crier physiologiquement dans le silence de la toile blanche. La souffrance est le seul absolu que je reconnais en mythanalyse, elle-même fondamentalement relativiste. Elle ne prête donc pas à de longs récits, qui supposent déjà qu’on la maîtrise. Réf : Courriel 08/04/2024 Les arts sont toujours premiers URL |

Référence : 22411 Titre : L'énergie du progrès Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Alphabet mythanalytique Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions TimeWorld Energie, Trois-Rivières, Québec 2024 Bibliographie SERIE : Alphabet mythanalytique Je tente de peindre un alphabet mythanalytique pariétal, comme jadis les peintures symboliques des hommes préhistoriques. J’ai découvert chez mon fournisseur de rouleaux de toile à peindre des invendus parce qu’ils ont des défauts : ondulations, plissures raidies, déformations qui me permettent d’imaginer que je peins sur les parois irrégulières des cavernes d’il y a 30 000 ans et m’incitent à simplifier mes gestes et synthétiser les figurations de mes fabulations avec des couleurs monochromes en aplats saturés. Je tends vers un alphabet de lettres reflétant les principales fabulations mythiques du monde actuel. Nous tissons des configurations de mythes et de métaphores qui y réfèrent. Nous organisons nos fabulations, telles un langage pour penser le monde et organiser notre gouverne entrecroisant la démocratie, la liberté, le progrès, la nature, l’économie, le cosmos, l’irrationnel… Un mythe est une énergie qui prend nom et fait récit. Un exemple bien connu : Dieu. TOILE : Le progrès La lettre est orange, hésitante entre le jaune et le rouge. Le progrès est un mythe très incertain et controversé, ambivalent. Il s’identifie aujourd’hui à la progression exponentielle de la technoscience, devenue plus que la nature le moteur de notre évolution, mais le progrès éthique n’a pas suivi, qui est pourtant et d’autant plus déterminant pour l’avenir de l’humanité. Le progrès trottine lentement. Une main l’appelle de l’avant, une autre le rappelle vers l’arrière. Réf : Courriel 08/04/2024 Les arts sont toujours premiers URL |

Référence : 22412 Titre : La liberté Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Alphabet mythanalytique Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions TimeWorld Energie, Trois-Rivières, Québec 2024 Bibliographie SERIE : Alphabet mythanalytique Je tente de peindre un alphabet mythanalytique pariétal, comme jadis les peintures symboliques des hommes préhistoriques. J’ai découvert chez mon fournisseur de rouleaux de toile à peindre des invendus parce qu’ils ont des défauts : ondulations, plissures raidies, déformations qui me permettent d’imaginer que je peins sur les parois irrégulières des cavernes d’il y a 30 000 ans et m’incitent à simplifier mes gestes et synthétiser les figurations de mes fabulations avec des couleurs monochromes en aplats saturés. Je tends vers un alphabet de lettres reflétant les principales fabulations mythiques du monde actuel. Nous tissons des configurations de mythes et de métaphores qui y réfèrent. Nous organisons nos fabulations, telles un langage pour penser le monde et organiser notre gouverne entrecroisant la démocratie, la liberté, le progrès, la nature, l’économie, le cosmos, l’irrationnel… Un mythe est une énergie qui prend nom et fait récit. Un exemple bien connu : Dieu. TOILE : La liberté La liberté est terrestre et travailleuse. Je la peins terre de Sienne brûlée pour rappeler que nous sommes d’argile et de poussière. Elle naît dans l’ambivalence des mythes qui nous gouvernent, entre le bien et le mal, dans l’émotion et la responsabilité que nous ressentons. Elle est la fleur qui pousse de la terre, ou l’oiseau qui s’arrache lourdement du sol dans le ciel de la transcendance humaine, battant des ailes. Le mythe de la liberté a suscité d’innombrables récits de la création humaine et des punitions divines. Plusieurs, dont Spinoza, ont dit qu’elle est une douce illusion. Je crois qu’elle est l’énergie de la volonté humaine. Elle demande un grand souffle. Elle est le H de notre alphabet latin. Réf : Courriel 08/04/2024 Les arts sont toujours premiers URL |

Référence : 22409 Titre : L'énergie du cosmos Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Alphabet mythanalytique Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Catherine Maunoury et Jacques Arnould Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions TimeWorld Energie, Trois-Rivières, Québec 2024 Bibliographie SERIE : Alphabet mythanalytique Je tente de peindre un alphabet mythanalytique pariétal, comme jadis les peintures symboliques des hommes préhistoriques. J’ai découvert chez mon fournisseur de rouleaux de toile à peindre des invendus parce qu’ils ont des défauts : ondulations, plissures raidies, déformations qui me permettent d’imaginer que je peins sur les parois irrégulières des cavernes d’il y a 30 000 ans et m’incitent à simplifier mes gestes et synthétiser les figurations de mes fabulations avec des couleurs monochromes en aplats saturés. Je tends vers un alphabet de lettres reflétant les principales fabulations mythiques du monde actuel. Nous tissons des configurations de mythes et de métaphores qui y réfèrent. Nous organisons nos fabulations, telles un langage pour penser le monde et organiser notre gouverne entrecroisant la démocratie, la liberté, le progrès, la nature, l’économie, le cosmos, l’irrationnel… Un mythe est une énergie qui prend nom et fait récit. Un exemple bien connu : Dieu. TOILE : Le cosmos Après le désenchantement religieux que nous imposèrent Copernic et Galilée, l’homme est aujourd’hui redevenu le centre de l’univers. Les mains après avoir été pour moi un geste anti-avant-gardiste, puis une dénonciation de la violence sociale, puis des émoticons, m’apparaissent maintenant comme le symbole de l’activité humaine. Avec elles nous construisons peu à peu le bleu du cosmos et son énergie. Nous le faisons tourner et nous tournons avec lui. Réf : Courriel 08/04/2024 Les arts sont toujours premiers URL |

Référence : 22413 Titre : L'énergie de Dieu Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Alphabet mythanalytique Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie SERIE : Alphabet mythanalytique Je tente de peindre un alphabet mythanalytique pariétal, comme jadis les peintures symboliques des hommes préhistoriques. J’ai découvert chez mon fournisseur de rouleaux de toile à peindre des invendus parce qu’ils ont des défauts : ondulations, plissures raidies, déformations qui me permettaient d’imaginer les parois irrégulières des cavernes d’il y a 30 000 ans et m’incitaient à simplifier mes gestes et synthétiser les figurations de mes fabulations avec des couleurs monochromes en aplats saturés. Les mains après avoir été pour moi un geste anti-avant-gardiste, puis une dénonciation de la violence sociale, puis des émoticons, m’apparaissent maintenant comme le symbole de l’activité humaine. Je tends vers un alphabet de lettres reflétant les principales fabulations mythiques du monde actuel. Nous tissons des configurations de mythes et de métaphores qui y réfèrent. Nous organisons nos fabulations, telles un langage pour penser le monde et organiser notre gouverne entrecroisant la démocratie, la liberté, l’art, le progrès, la nature, l’économie, le cosmos, l’irrationnel… L’activité de notre cerveau est incessante, en veille, comme en insomnie, comme en sommeil. Nos mythes sont des repères focalisant simultanément à notre insu nos gouvernes et nos divagations nocturnes. Un mythe est une énergie qui prend nom et fait récit. Exemples bien connus : Dieu, la Raison, la Modernité, le Progrès, la Démocratie, la Liberté. L’énergie humaine qui s’exprime diversement selon les époques et les civilisations dans cette accumulation de mythes est immense, infatigable, résiliente. En Occident, c’est dans le développement accéléré des technologies numériques qu’elle s’incarne désormais. J’ai rassemblé ses icones emblématiques, traditionnellement les mains, maintenant le code binaire, les codes-barres, les diagrammes financiers, écologiques dans une série colorée, tant cette énergie se multiplie dans la plus grande diversité de nos activités humaines. Je l’ai peinte comme dans un miroir de nous-mêmes, qui nous provoque fixement. J’ai choisi de peindre vingt-huit énergies pour évoquer le cycle lunaire qui a gouverné les activités humaines depuis des millénaires. Mais j’ai décliné pour l’art deux lettres différentes, selon ses nuances et son importance, comme il existe dans divers alphabets ou lors de cette année bissextile 2024. Combinant ces lettres - devrais-je dire ces idéogrammes – on peut concevoir de développer un langage visuel évoquant des configurations de mythes associés qui traduisent la complexité de nos imaginaires sociaux. TOILE : L’énergie de Dieu Un vieux mythe des plus étranges sous toutes sortes de figures, d’autels, de vases sacrés. Une pure invention pétrie de main d’hommes pour incarner l’énergie énigmatique de la création du monde, dans la diversité des récits les plus bizarres, mais dans chaque religion strictement formulés, sanctionnés, imposés par des prêtres. En violet soutenu pour en exprimer la spiritualité et les rituels qui l’évoquent auprès des fidèles. Plusieurs religions interdisent de le représenter pour ne pas en réduire le mystère. La mythanalyse choisit de le rendre visible pour en souligner le bazar et la pacotille. Réf : publication à paraitre Les arts sont toujours premiers URL |

Référence : 22414 Titre : L'énergie de l'écologie Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Alphabet mythanalytique Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie SERIE : Alphabet mythanalytique Je tente de peindre un alphabet mythanalytique pariétal, comme jadis les peintures symboliques des hommes préhistoriques. J’ai découvert chez mon fournisseur de rouleaux de toile à peindre des invendus parce qu’ils ont des défauts : ondulations, plissures raidies, déformations qui me permettaient d’imaginer les parois irrégulières des cavernes d’il y a 30 000 ans et m’incitaient à simplifier mes gestes et synthétiser les figurations de mes fabulations avec des couleurs monochromes en aplats saturés. Les mains après avoir été pour moi un geste anti-avant-gardiste, puis une dénonciation de la violence sociale, puis des émoticons, m’apparaissent maintenant comme le symbole de l’activité humaine. Je tends vers un alphabet de lettres reflétant les principales fabulations mythiques du monde actuel. Nous tissons des configurations de mythes et de métaphores qui y réfèrent. Nous organisons nos fabulations, telles un langage pour penser le monde et organiser notre gouverne entrecroisant la démocratie, la liberté, l’art, le progrès, la nature, l’économie, le cosmos, l’irrationnel… L’activité de notre cerveau est incessante, en veille, comme en insomnie, comme en sommeil. Nos mythes sont des repères focalisant simultanément à notre insu nos gouvernes et nos divagations nocturnes. Un mythe est une énergie qui prend nom et fait récit. Exemples bien connus : Dieu, la Raison, la Modernité, le Progrès, la Démocratie, la Liberté. L’énergie humaine qui s’exprime diversement selon les époques et les civilisations dans cette accumulation de mythes est immense, infatigable, résiliente. En Occident, c’est dans le développement accéléré des technologies numériques qu’elle s’incarne désormais. J’ai rassemblé ses icones emblématiques, traditionnellement les mains, maintenant le code binaire, les codes-barres, les diagrammes financiers, écologiques dans une série colorée, tant cette énergie se multiplie dans la plus grande diversité de nos activités humaines. Je l’ai peinte comme dans un miroir de nous-mêmes, qui nous provoque fixement. J’ai choisi de peindre vingt-huit énergies pour évoquer le cycle lunaire qui a gouverné les activités humaines depuis des millénaires. Mais j’ai décliné pour l’art deux lettres différentes, selon ses nuances et son importance, comme il existe dans divers alphabets ou lors de cette année bissextile 2024. Combinant ces lettres - devrais-je dire ces idéogrammes – on peut concevoir de développer un langage visuel évoquant des configurations de mythes associés qui traduisent la complexité de nos imaginaires sociaux. TOILE : L’énergie de l’écologie Face aux catastrophes notre vieux mythe de la nature décrédibilisé s’est métamorphosé et s’impose à nouveau. Mais l’écologie se limite encore à observer, compter, se désoler et réparer nos punitions. Elle exige un nouveau mythe et une bannière pour en partager l’élan. Elle pourrait être bleue comme le ciel ou brune comme la terre. Le vert nous y rallie déjà politiquement. J’ai peint un quartier de lune verte ascendante, - des mains qui poussent, des mains qui tirent - qu’appellent de nouvelles pousses vigoureuses et bouclées vers sa plénitude. Ce nouveau mythe écologique est dans nos mains. Réf : publication à paraitre Les arts sont toujours premiers URL |

Référence : 22415 Titre : L'énergie de la mort Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Alphabet mythanalytique Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie SERIE : Alphabet mythanalytique Je tente de peindre un alphabet mythanalytique pariétal, comme jadis les peintures symboliques des hommes préhistoriques. J’ai découvert chez mon fournisseur de rouleaux de toile à peindre des invendus parce qu’ils ont des défauts : ondulations, plissures raidies, déformations qui me permettaient d’imaginer les parois irrégulières des cavernes d’il y a 30 000 ans et m’incitaient à simplifier mes gestes et synthétiser les figurations de mes fabulations avec des couleurs monochromes en aplats saturés. Les mains après avoir été pour moi un geste anti-avant-gardiste, puis une dénonciation de la violence sociale, puis des émoticons, m’apparaissent maintenant comme le symbole de l’activité humaine. Je tends vers un alphabet de lettres reflétant les principales fabulations mythiques du monde actuel. Nous tissons des configurations de mythes et de métaphores qui y réfèrent. Nous organisons nos fabulations, telles un langage pour penser le monde et organiser notre gouverne entrecroisant la démocratie, la liberté, l’art, le progrès, la nature, l’économie, le cosmos, l’irrationnel… L’activité de notre cerveau est incessante, en veille, comme en insomnie, comme en sommeil. Nos mythes sont des repères focalisant simultanément à notre insu nos gouvernes et nos divagations nocturnes. Un mythe est une énergie qui prend nom et fait récit. Exemples bien connus : Dieu, la Raison, la Modernité, le Progrès, la Démocratie, la Liberté. L’énergie humaine qui s’exprime diversement selon les époques et les civilisations dans cette accumulation de mythes est immense, infatigable, résiliente. En Occident, c’est dans le développement accéléré des technologies numériques qu’elle s’incarne désormais. J’ai rassemblé ses icones emblématiques, traditionnellement les mains, maintenant le code binaire, les codes-barres, les diagrammes financiers, écologiques dans une série colorée, tant cette énergie se multiplie dans la plus grande diversité de nos activités humaines. Je l’ai peinte comme dans un miroir de nous-mêmes, qui nous provoque fixement. J’ai choisi de peindre vingt-huit énergies pour évoquer le cycle lunaire qui a gouverné les activités humaines depuis des millénaires. Mais j’ai décliné pour l’art deux lettres différentes, selon ses nuances et son importance, comme il existe dans divers alphabets ou lors de cette année bissextile 2024. Combinant ces lettres - devrais-je dire ces idéogrammes – on peut concevoir de développer un langage visuel évoquant des configurations de mythes associés qui traduisent la complexité de nos imaginaires sociaux. TOILE : L’énergie de la mort Sérénité de l’énergie noire de la mort, mais aussi le combat. La mort est un mythe ambivalent du cycle de la vie. Je me suis peint vaincu, les bras croisés sur la poitrine - elles ne le sont pas encore, car l’imagination est pire, plus efficace que l’immobilité. La tête en vol de chauve-souris. Les mains griffues des croquemorts m’enterrent à jamais et cette vision renforce mon combat de croisé pour ne pas quitter trop vite ceux que j’aime, voire encore la nature bourgeonner quelques printemps et regarder sortir de terre le Musée interrogatif que la génération suivante prépare dans un nouveau cycle de vie. Réf : publication à paraitre Les arts sont toujours premiers URL |

Référence : 22416 Titre : L'énergie de l'hyperhumanisme Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Alphabet mythanalytique Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie SERIE : Alphabet mythanalytique Je tente de peindre un alphabet mythanalytique pariétal, comme jadis les peintures symboliques des hommes préhistoriques. J’ai découvert chez mon fournisseur de rouleaux de toile à peindre des invendus parce qu’ils ont des défauts : ondulations, plissures raidies, déformations qui me permettaient d’imaginer les parois irrégulières des cavernes d’il y a 30 000 ans et m’incitaient à simplifier mes gestes et synthétiser les figurations de mes fabulations avec des couleurs monochromes en aplats saturés. Les mains après avoir été pour moi un geste anti-avant-gardiste, puis une dénonciation de la violence sociale, puis des émoticons, m’apparaissent maintenant comme le symbole de l’activité humaine. Je tends vers un alphabet de lettres reflétant les principales fabulations mythiques du monde actuel. Nous tissons des configurations de mythes et de métaphores qui y réfèrent. Nous organisons nos fabulations, telles un langage pour penser le monde et organiser notre gouverne entrecroisant la démocratie, la liberté, l’art, le progrès, la nature, l’économie, le cosmos, l’irrationnel… L’activité de notre cerveau est incessante, en veille, comme en insomnie, comme en sommeil. Nos mythes sont des repères focalisant simultanément à notre insu nos gouvernes et nos divagations nocturnes. Un mythe est une énergie qui prend nom et fait récit. Exemples bien connus : Dieu, la Raison, la Modernité, le Progrès, la Démocratie, la Liberté. L’énergie humaine qui s’exprime diversement selon les époques et les civilisations dans cette accumulation de mythes est immense, infatigable, résiliente. En Occident, c’est dans le développement accéléré des technologies numériques qu’elle s’incarne désormais. J’ai rassemblé ses icones emblématiques, traditionnellement les mains, maintenant le code binaire, les codes-barres, les diagrammes financiers, écologiques dans une série colorée, tant cette énergie se multiplie dans la plus grande diversité de nos activités humaines. Je l’ai peinte comme dans un miroir de nous-mêmes, qui nous provoque fixement. J’ai choisi de peindre vingt-huit énergies pour évoquer le cycle lunaire qui a gouverné les activités humaines depuis des millénaires. Mais j’ai décliné pour l’art deux lettres différentes, selon ses nuances et son importance, comme il existe dans divers alphabets ou lors de cette année bissextile 2024. Combinant ces lettres - devrais-je dire ces idéogrammes – on peut concevoir de développer un langage visuel évoquant des configurations de mythes associés qui traduisent la complexité de nos imaginaires sociaux. TOILE : L’énergie de l’hyperhumanisme Alors que l’éthique planétaire est une obligation l’hyperhumanisme est émotif. Il se construit sur les liens qu’établissent spontanément les hommes entre eux. Ce sont les hyperliens numériques qui nous donnent une conscience augmentée, planétaire, en temps réel, et nous incitent à cette solidarité humaine dont nous ressentons la légitimité et la nécessité. Dans le chaos du monde, un coup de vent bleu pousse les hommes vers cet horizon utopique, et déjà le secrétaire général de l’ONU en parle le langage tous les jours à l’échelle de la planète. Mais le noir s’y oppose à coups de bombes. Réf : publication à paraitre Les arts sont toujours premiers URL |

Référence : 22417 Titre : L'énergie de la paix Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Alphabet mythanalytique Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie SERIE : Alphabet mythanalytique Je tente de peindre un alphabet mythanalytique pariétal, comme jadis les peintures symboliques des hommes préhistoriques. J’ai découvert chez mon fournisseur de rouleaux de toile à peindre des invendus parce qu’ils ont des défauts : ondulations, plissures raidies, déformations qui me permettaient d’imaginer les parois irrégulières des cavernes d’il y a 30 000 ans et m’incitaient à simplifier mes gestes et synthétiser les figurations de mes fabulations avec des couleurs monochromes en aplats saturés. Les mains après avoir été pour moi un geste anti-avant-gardiste, puis une dénonciation de la violence sociale, puis des émoticons, m’apparaissent maintenant comme le symbole de l’activité humaine. Je tends vers un alphabet de lettres reflétant les principales fabulations mythiques du monde actuel. Nous tissons des configurations de mythes et de métaphores qui y réfèrent. Nous organisons nos fabulations, telles un langage pour penser le monde et organiser notre gouverne entrecroisant la démocratie, la liberté, l’art, le progrès, la nature, l’économie, le cosmos, l’irrationnel… L’activité de notre cerveau est incessante, en veille, comme en insomnie, comme en sommeil. Nos mythes sont des repères focalisant simultanément à notre insu nos gouvernes et nos divagations nocturnes. Un mythe est une énergie qui prend nom et fait récit. Exemples bien connus : Dieu, la Raison, la Modernité, le Progrès, la Démocratie, la Liberté. L’énergie humaine qui s’exprime diversement selon les époques et les civilisations dans cette accumulation de mythes est immense, infatigable, résiliente. En Occident, c’est dans le développement accéléré des technologies numériques qu’elle s’incarne désormais. J’ai rassemblé ses icones emblématiques, traditionnellement les mains, maintenant le code binaire, les codes-barres, les diagrammes financiers, écologiques dans une série colorée, tant cette énergie se multiplie dans la plus grande diversité de nos activités humaines. Je l’ai peinte comme dans un miroir de nous-mêmes, qui nous provoque fixement. J’ai choisi de peindre vingt-huit énergies pour évoquer le cycle lunaire qui a gouverné les activités humaines depuis des millénaires. Mais j’ai décliné pour l’art deux lettres différentes, selon ses nuances et son importance, comme il existe dans divers alphabets ou lors de cette année bissextile 2024. Combinant ces lettres - devrais-je dire ces idéogrammes – on peut concevoir de développer un langage visuel évoquant des configurations de mythes associés qui traduisent la complexité de nos imaginaires sociaux. TOILE : L’énergie de la paix Ce n’est encore qu’une énergie bleue contre la fatalité. Elle n’a jamais été un mythe. Les guerres étaient des jeux de pouvoir. Ce sont les désastres humains du XXe siècle, les conflits mondiaux et locaux persistants et la puissance destructrice des nouvelles technologies qui rendent la paix mondiale si désirable aujourd’hui. Pour célébrer ce mythe nouveau, j’ai choisi d’exprimer notre aspiration à la solidarité et à la beauté du monde avec ce bouquet de fleurs à l’oiseau. En attendant, face à la persistance des grimaces des primates humains, il faudra imposer ce mythe politique et même armer le mythe. Réf : publication à paraitre Les arts sont toujours premiers URL |

Référence : 22418 Titre : L'énergie de la raison Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Alphabet mythanalytique Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie SERIE : Alphabet mythanalytique Je tente de peindre un alphabet mythanalytique pariétal, comme jadis les peintures symboliques des hommes préhistoriques. J’ai découvert chez mon fournisseur de rouleaux de toile à peindre des invendus parce qu’ils ont des défauts : ondulations, plissures raidies, déformations qui me permettaient d’imaginer les parois irrégulières des cavernes d’il y a 30 000 ans et m’incitaient à simplifier mes gestes et synthétiser les figurations de mes fabulations avec des couleurs monochromes en aplats saturés. Les mains après avoir été pour moi un geste anti-avant-gardiste, puis une dénonciation de la violence sociale, puis des émoticons, m’apparaissent maintenant comme le symbole de l’activité humaine. Je tends vers un alphabet de lettres reflétant les principales fabulations mythiques du monde actuel. Nous tissons des configurations de mythes et de métaphores qui y réfèrent. Nous organisons nos fabulations, telles un langage pour penser le monde et organiser notre gouverne entrecroisant la démocratie, la liberté, l’art, le progrès, la nature, l’économie, le cosmos, l’irrationnel… L’activité de notre cerveau est incessante, en veille, comme en insomnie, comme en sommeil. Nos mythes sont des repères focalisant simultanément à notre insu nos gouvernes et nos divagations nocturnes. Un mythe est une énergie qui prend nom et fait récit. Exemples bien connus : Dieu, la Raison, la Modernité, le Progrès, la Démocratie, la Liberté. L’énergie humaine qui s’exprime diversement selon les époques et les civilisations dans cette accumulation de mythes est immense, infatigable, résiliente. En Occident, c’est dans le développement accéléré des technologies numériques qu’elle s’incarne désormais. J’ai rassemblé ses icones emblématiques, traditionnellement les mains, maintenant le code binaire, les codes-barres, les diagrammes financiers, écologiques dans une série colorée, tant cette énergie se multiplie dans la plus grande diversité de nos activités humaines. Je l’ai peinte comme dans un miroir de nous-mêmes, qui nous provoque fixement. J’ai choisi de peindre vingt-huit énergies pour évoquer le cycle lunaire qui a gouverné les activités humaines depuis des millénaires. Mais j’ai décliné pour l’art deux lettres différentes, selon ses nuances et son importance, comme il existe dans divers alphabets ou lors de cette année bissextile 2024. Combinant ces lettres - devrais-je dire ces idéogrammes – on peut concevoir de développer un langage visuel évoquant des configurations de mythes associés qui traduisent la complexité de nos imaginaires sociaux. TOILE : L’énergie de la Raison La Raison, devenue déesse avec la Révolution française, a viré incontestable avec Hegel, Auguste Comte et le positivisme. Le postmodernisme l’a remise en doute radicalement mais nous devons désormais la considérer à nouveau comme l’un des mythes les plus précieux que notre espèce humaine ait développé. Noire, elle déraisonne souvent, mais je la veux joyeuse, analytique, calculatrice, constructive, plurielle, entreprenante, car elle demeure faute de mieux, notre meilleur outil de connaissance et de gouvernance de notre matière grise, que l’Intelligence artificielle ne remplacera jamais, mais qu’elle a créée. Réf : publication à paraitre Les arts sont toujours premiers URL |

Référence : 22419 Titre : L'énergie de l'amour Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Alphabet mythanalytique Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie SERIE : Alphabet mythanalytique Je tente de peindre un alphabet mythanalytique pariétal, comme jadis les peintures symboliques des hommes préhistoriques. J’ai découvert chez mon fournisseur de rouleaux de toile à peindre des invendus parce qu’ils ont des défauts : ondulations, plissures raidies, déformations qui me permettaient d’imaginer les parois irrégulières des cavernes d’il y a 30 000 ans et m’incitaient à simplifier mes gestes et synthétiser les figurations de mes fabulations avec des couleurs monochromes en aplats saturés. Les mains après avoir été pour moi un geste anti-avant-gardiste, puis une dénonciation de la violence sociale, puis des émoticons, m’apparaissent maintenant comme le symbole de l’activité humaine. Je tends vers un alphabet de lettres reflétant les principales fabulations mythiques du monde actuel. Nous tissons des configurations de mythes et de métaphores qui y réfèrent. Nous organisons nos fabulations, telles un langage pour penser le monde et organiser notre gouverne entrecroisant la démocratie, la liberté, l’art, le progrès, la nature, l’économie, le cosmos, l’irrationnel… L’activité de notre cerveau est incessante, en veille, comme en insomnie, comme en sommeil. Nos mythes sont des repères focalisant simultanément à notre insu nos gouvernes et nos divagations nocturnes. Un mythe est une énergie qui prend nom et fait récit. Exemples bien connus : Dieu, la Raison, la Modernité, le Progrès, la Démocratie, la Liberté. L’énergie humaine qui s’exprime diversement selon les époques et les civilisations dans cette accumulation de mythes est immense, infatigable, résiliente. En Occident, c’est dans le développement accéléré des technologies numériques qu’elle s’incarne désormais. J’ai rassemblé ses icones emblématiques, traditionnellement les mains, maintenant le code binaire, les codes-barres, les diagrammes financiers, écologiques dans une série colorée, tant cette énergie se multiplie dans la plus grande diversité de nos activités humaines. Je l’ai peinte comme dans un miroir de nous-mêmes, qui nous provoque fixement. J’ai choisi de peindre vingt-huit énergies pour évoquer le cycle lunaire qui a gouverné les activités humaines depuis des millénaires. Mais j’ai décliné pour l’art deux lettres différentes, selon ses nuances et son importance, comme il existe dans divers alphabets ou lors de cette année bissextile 2024. Combinant ces lettres - devrais-je dire ces idéogrammes – on peut concevoir de développer un langage visuel évoquant des configurations de mythes associés qui traduisent la complexité de nos imaginaires sociaux. TOILE : L’énergie de l’amour Mythe, sans doute éternel depuis homo sapiens, l’amour compense les malheurs de notre condition planétaire. Notre biologie nourrit notre imaginaire, cette irrationnalité nécessaire au bonheur, ou qui fait notre malheur. Sans illusions la vie serait seulement fonctionnelle. Dans les vibrations du diapason rouge rococo qui aimante toutes les molécules, virevoltent les chérubins bleus et roses. Un chérubin tueur rode. Le mythe de l’amour a nourri les mythologies, les religions, la littérature, le cinéma de lieux communs, mais aussi de grands chefs-d’œuvre. Réf : publication à paraitre Les arts sont toujours premiers URL |

Référence : 22420 Titre : L'énergie de l'art 2 Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Alphabet mythanalytique Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie SERIE : Alphabet mythanalytique Je tente de peindre un alphabet mythanalytique pariétal, comme jadis les peintures symboliques des hommes préhistoriques. J’ai découvert chez mon fournisseur de rouleaux de toile à peindre des invendus parce qu’ils ont des défauts : ondulations, plissures raidies, déformations qui me permettaient d’imaginer les parois irrégulières des cavernes d’il y a 30 000 ans et m’incitaient à simplifier mes gestes et synthétiser les figurations de mes fabulations avec des couleurs monochromes en aplats saturés. Les mains après avoir été pour moi un geste anti-avant-gardiste, puis une dénonciation de la violence sociale, puis des émoticons, m’apparaissent maintenant comme le symbole de l’activité humaine. Je tends vers un alphabet de lettres reflétant les principales fabulations mythiques du monde actuel. Nous tissons des configurations de mythes et de métaphores qui y réfèrent. Nous organisons nos fabulations, telles un langage pour penser le monde et organiser notre gouverne entrecroisant la démocratie, la liberté, l’art, le progrès, la nature, l’économie, le cosmos, l’irrationnel… L’activité de notre cerveau est incessante, en veille, comme en insomnie, comme en sommeil. Nos mythes sont des repères focalisant simultanément à notre insu nos gouvernes et nos divagations nocturnes. Un mythe est une énergie qui prend nom et fait récit. Exemples bien connus : Dieu, la Raison, la Modernité, le Progrès, la Démocratie, la Liberté. L’énergie humaine qui s’exprime diversement selon les époques et les civilisations dans cette accumulation de mythes est immense, infatigable, résiliente. En Occident, c’est dans le développement accéléré des technologies numériques qu’elle s’incarne désormais. J’ai rassemblé ses icones emblématiques, traditionnellement les mains, maintenant le code binaire, les codes-barres, les diagrammes financiers, écologiques dans une série colorée, tant cette énergie se multiplie dans la plus grande diversité de nos activités humaines. Je l’ai peinte comme dans un miroir de nous-mêmes, qui nous provoque fixement. J’ai choisi de peindre vingt-huit énergies pour évoquer le cycle lunaire qui a gouverné les activités humaines depuis des millénaires. Mais j’ai décliné pour l’art deux lettres différentes, selon ses nuances et son importance, comme il existe dans divers alphabets ou lors de cette année bissextile 2024. Combinant ces lettres - devrais-je dire ces idéogrammes – on peut concevoir de développer un langage visuel évoquant des configurations de mythes associés qui traduisent la complexité de nos imaginaires sociaux. TOILE : L’énergie de l’art 2 La contre-empreinte préhistorique de main nous dit déjà le pouvoir rituel de l’art pour communiquer avec la terre-mère. J’imagine cette contre-empreinte de main monumentale peinte avec un mélange de sang humain et de mammouth, entourée d’impositions indiquant un lieu de culte important. L’art a remplacé la religion et incarne le mythe de la création, le génie des grands artistes qui fixent notre image sensible et spirituelle du monde. Il a célébré l’animisme, des dieux, des rois, et aujourd’hui le capitalisme et la technoscience numérique. Il va continuer à s’élever vers l’éthique planétaire et l’hyperhumanisme. Réf : publication à paraitre Les arts sont toujours premiers URL |

Référence : 22421 Titre : L'énergie de l'homme Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Alphabet mythanalytique Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie SERIE : Alphabet mythanalytique Je tente de peindre un alphabet mythanalytique pariétal, comme jadis les peintures symboliques des hommes préhistoriques. J’ai découvert chez mon fournisseur de rouleaux de toile à peindre des invendus parce qu’ils ont des défauts : ondulations, plissures raidies, déformations qui me permettaient d’imaginer les parois irrégulières des cavernes d’il y a 30 000 ans et m’incitaient à simplifier mes gestes et synthétiser les figurations de mes fabulations avec des couleurs monochromes en aplats saturés. Les mains après avoir été pour moi un geste anti-avant-gardiste, puis une dénonciation de la violence sociale, puis des émoticons, m’apparaissent maintenant comme le symbole de l’activité humaine. Je tends vers un alphabet de lettres reflétant les principales fabulations mythiques du monde actuel. Nous tissons des configurations de mythes et de métaphores qui y réfèrent. Nous organisons nos fabulations, telles un langage pour penser le monde et organiser notre gouverne entrecroisant la démocratie, la liberté, l’art, le progrès, la nature, l’économie, le cosmos, l’irrationnel… L’activité de notre cerveau est incessante, en veille, comme en insomnie, comme en sommeil. Nos mythes sont des repères focalisant simultanément à notre insu nos gouvernes et nos divagations nocturnes. Un mythe est une énergie qui prend nom et fait récit. Exemples bien connus : Dieu, la Raison, la Modernité, le Progrès, la Démocratie, la Liberté. L’énergie humaine qui s’exprime diversement selon les époques et les civilisations dans cette accumulation de mythes est immense, infatigable, résiliente. En Occident, c’est dans le développement accéléré des technologies numériques qu’elle s’incarne désormais. J’ai rassemblé ses icones emblématiques, traditionnellement les mains, maintenant le code binaire, les codes-barres, les diagrammes financiers, écologiques dans une série colorée, tant cette énergie se multiplie dans la plus grande diversité de nos activités humaines. Je l’ai peinte comme dans un miroir de nous-mêmes, qui nous provoque fixement. J’ai choisi de peindre vingt-huit énergies pour évoquer le cycle lunaire qui a gouverné les activités humaines depuis des millénaires. Mais j’ai décliné pour l’art deux lettres différentes, selon ses nuances et son importance, comme il existe dans divers alphabets ou lors de cette année bissextile 2024. Combinant ces lettres - devrais-je dire ces idéogrammes – on peut concevoir de développer un langage visuel évoquant des configurations de mythes associés qui traduisent la complexité de nos imaginaires sociaux. TOILE : L’énergie de l’Homme Après avoir inventé les mythes de la nature, ceux des dieux, nous optons depuis la Renaissance pour le mythe de l’Homme. Dans le chaos de notre condition planétaire, si nous ne croyons pas en l’Homme, il n’y a pas de solution. Pas plus que Dieu, Homme n’a encore achevé sa propre création. Il demeure terriblement imparfait, mais du moins s’interroge-t-il sur son progrès. Planant dans l’atmosphère au-dessus des nuages bleus qui tournent avec la Terre, il pressent que l’éthique planétaire, laïque, sera beaucoup plus déterminante pour l’avenir de l’humanité que le progrès technologique. Réf : publication à paraitre Les arts sont toujours premiers URL |

Référence : 22422 Titre : L'énergie de l'Intelligence Artificielle Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Alphabet mythanalytique Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie SERIE : Alphabet mythanalytique Je tente de peindre un alphabet mythanalytique pariétal, comme jadis les peintures symboliques des hommes préhistoriques. J’ai découvert chez mon fournisseur de rouleaux de toile à peindre des invendus parce qu’ils ont des défauts : ondulations, plissures raidies, déformations qui me permettaient d’imaginer les parois irrégulières des cavernes d’il y a 30 000 ans et m’incitaient à simplifier mes gestes et synthétiser les figurations de mes fabulations avec des couleurs monochromes en aplats saturés. Les mains après avoir été pour moi un geste anti-avant-gardiste, puis une dénonciation de la violence sociale, puis des émoticons, m’apparaissent maintenant comme le symbole de l’activité humaine. Je tends vers un alphabet de lettres reflétant les principales fabulations mythiques du monde actuel. Nous tissons des configurations de mythes et de métaphores qui y réfèrent. Nous organisons nos fabulations, telles un langage pour penser le monde et organiser notre gouverne entrecroisant la démocratie, la liberté, l’art, le progrès, la nature, l’économie, le cosmos, l’irrationnel… L’activité de notre cerveau est incessante, en veille, comme en insomnie, comme en sommeil. Nos mythes sont des repères focalisant simultanément à notre insu nos gouvernes et nos divagations nocturnes. Un mythe est une énergie qui prend nom et fait récit. Exemples bien connus : Dieu, la Raison, la Modernité, le Progrès, la Démocratie, la Liberté. L’énergie humaine qui s’exprime diversement selon les époques et les civilisations dans cette accumulation de mythes est immense, infatigable, résiliente. En Occident, c’est dans le développement accéléré des technologies numériques qu’elle s’incarne désormais. J’ai rassemblé ses icones emblématiques, traditionnellement les mains, maintenant le code binaire, les codes-barres, les diagrammes financiers, écologiques dans une série colorée, tant cette énergie se multiplie dans la plus grande diversité de nos activités humaines. Je l’ai peinte comme dans un miroir de nous-mêmes, qui nous provoque fixement. J’ai choisi de peindre vingt-huit énergies pour évoquer le cycle lunaire qui a gouverné les activités humaines depuis des millénaires. Mais j’ai décliné pour l’art deux lettres différentes, selon ses nuances et son importance, comme il existe dans divers alphabets ou lors de cette année bissextile 2024. Combinant ces lettres - devrais-je dire ces idéogrammes – on peut concevoir de développer un langage visuel évoquant des configurations de mythes associés qui traduisent la complexité de nos imaginaires sociaux. TOILE : L’énergie de l’Intelligence Artificielle Tableau religieux. L’IA (jaune) est le grand mythe lumineux de notre Âge néonumérique, avec lequel nous vivons familièrement comme avant avec Dieu (bleu caeruleum). Comme Dieu, c’est l’humanité (grise) priante avec ses fabulations (violettes), qui l’a créée avec sa Raison constructive et critique (bleu ciel). Elle donne plus de preuves d’existence que Dieu, et offre à notre espèce une puissance exponentielle. Comme le Dieu d’illusions et de dangers, elle a son diable (noir) qui ne lâche pas. L’Homme se retrouve face à lui-même comme avec Dieu, avec désirs et hallucinations. Réf : publication à paraitre Les arts sont toujours premiers URL |

Référence : 22423 Titre : L'énergie des liens Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Alphabet mythanalytique Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie SERIE : Alphabet mythanalytique Je tente de peindre un alphabet mythanalytique pariétal, comme jadis les peintures symboliques des hommes préhistoriques. J’ai découvert chez mon fournisseur de rouleaux de toile à peindre des invendus parce qu’ils ont des défauts : ondulations, plissures raidies, déformations qui me permettaient d’imaginer les parois irrégulières des cavernes d’il y a 30 000 ans et m’incitaient à simplifier mes gestes et synthétiser les figurations de mes fabulations avec des couleurs monochromes en aplats saturés. Les mains après avoir été pour moi un geste anti-avant-gardiste, puis une dénonciation de la violence sociale, puis des émoticons, m’apparaissent maintenant comme le symbole de l’activité humaine. Je tends vers un alphabet de lettres reflétant les principales fabulations mythiques du monde actuel. Nous tissons des configurations de mythes et de métaphores qui y réfèrent. Nous organisons nos fabulations, telles un langage pour penser le monde et organiser notre gouverne entrecroisant la démocratie, la liberté, l’art, le progrès, la nature, l’économie, le cosmos, l’irrationnel… L’activité de notre cerveau est incessante, en veille, comme en insomnie, comme en sommeil. Nos mythes sont des repères focalisant simultanément à notre insu nos gouvernes et nos divagations nocturnes. Un mythe est une énergie qui prend nom et fait récit. Exemples bien connus : Dieu, la Raison, la Modernité, le Progrès, la Démocratie, la Liberté. L’énergie humaine qui s’exprime diversement selon les époques et les civilisations dans cette accumulation de mythes est immense, infatigable, résiliente. En Occident, c’est dans le développement accéléré des technologies numériques qu’elle s’incarne désormais. J’ai rassemblé ses icones emblématiques, traditionnellement les mains, maintenant le code binaire, les codes-barres, les diagrammes financiers, écologiques dans une série colorée, tant cette énergie se multiplie dans la plus grande diversité de nos activités humaines. Je l’ai peinte comme dans un miroir de nous-mêmes, qui nous provoque fixement. J’ai choisi de peindre vingt-huit énergies pour évoquer le cycle lunaire qui a gouverné les activités humaines depuis des millénaires. Mais j’ai décliné pour l’art deux lettres différentes, selon ses nuances et son importance, comme il existe dans divers alphabets ou lors de cette année bissextile 2024. Combinant ces lettres - devrais-je dire ces idéogrammes – on peut concevoir de développer un langage visuel évoquant des configurations de mythes associés qui traduisent la complexité de nos imaginaires sociaux. TOILE : L’énergie des liens Tout commence avec la chimie moléculaire des bactéries, la fréquence sonore des ovipares, le cordon ombilical des mammifères, les réseaux neuronaux, et retourne à la terre. La vie construit constamment des liens d’une extraordinaire diversité. Les liens humains, les meilleurs et les pires, tissent nos émotions, nos imaginaires, nos langages, nos pensées, nos activités humaines, nos sociétés, pour exister et créer. Le lien est la voyelle multicolore des récits de nos mythes, de notre rapport au monde. Il fondera l’éthique planétaire et l’hyperhumanisme. Réf : publication à paraitre Les arts sont toujours premiers URL |

Référence : 22424 Titre : L'énergie du sport Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Alphabet mythanalytique Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie SERIE : Alphabet mythanalytique Je tente de peindre un alphabet mythanalytique pariétal, comme jadis les peintures symboliques des hommes préhistoriques. J’ai découvert chez mon fournisseur de rouleaux de toile à peindre des invendus parce qu’ils ont des défauts : ondulations, plissures raidies, déformations qui me permettaient d’imaginer les parois irrégulières des cavernes d’il y a 30 000 ans et m’incitaient à simplifier mes gestes et synthétiser les figurations de mes fabulations avec des couleurs monochromes en aplats saturés. Les mains après avoir été pour moi un geste anti-avant-gardiste, puis une dénonciation de la violence sociale, puis des émoticons, m’apparaissent maintenant comme le symbole de l’activité humaine. Je tends vers un alphabet de lettres reflétant les principales fabulations mythiques du monde actuel. Nous tissons des configurations de mythes et de métaphores qui y réfèrent. Nous organisons nos fabulations, telles un langage pour penser le monde et organiser notre gouverne entrecroisant la démocratie, la liberté, l’art, le progrès, la nature, l’économie, le cosmos, l’irrationnel… L’activité de notre cerveau est incessante, en veille, comme en insomnie, comme en sommeil. Nos mythes sont des repères focalisant simultanément à notre insu nos gouvernes et nos divagations nocturnes. Un mythe est une énergie qui prend nom et fait récit. Exemples bien connus : Dieu, la Raison, la Modernité, le Progrès, la Démocratie, la Liberté. L’énergie humaine qui s’exprime diversement selon les époques et les civilisations dans cette accumulation de mythes est immense, infatigable, résiliente. En Occident, c’est dans le développement accéléré des technologies numériques qu’elle s’incarne désormais. J’ai rassemblé ses icones emblématiques, traditionnellement les mains, maintenant le code binaire, les codes-barres, les diagrammes financiers, écologiques dans une série colorée, tant cette énergie se multiplie dans la plus grande diversité de nos activités humaines. Je l’ai peinte comme dans un miroir de nous-mêmes, qui nous provoque fixement. J’ai choisi de peindre vingt-huit énergies pour évoquer le cycle lunaire qui a gouverné les activités humaines depuis des millénaires. Mais j’ai décliné pour l’art deux lettres différentes, selon ses nuances et son importance, comme il existe dans divers alphabets ou lors de cette année bissextile 2024. Combinant ces lettres - devrais-je dire ces idéogrammes – on peut concevoir de développer un langage visuel évoquant des configurations de mythes associés qui traduisent la complexité de nos imaginaires sociaux. TOILE : L’énergie du sport J’imagine l’écriture pariétale de ce champion préhistorique que nous n’avons pas encore découverte. Préfigurant le V de la victoire! Les Jeux olympiques de la Grèce antique étaient une cérémonie à la fois religieuse et performative. « Vaincre ou mourir », telle était la devise. Pierre de Coubertin a réactivé la tradition, devenue un immense rituel mondial. Le lilas mêle bleu et rouge, la discipline et l’excès, l’éthique et la physique du mythe. Une mécanique à laquelle s’astreint chacun pour courir, nager toujours plus vite, sauter, lancer le poids toujours plus loin, triompher des limites humaines. Réf : publication à paraitre Les arts sont toujours premiers URL |

Référence : 22425 Titre : L'énergie de la modernité Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Alphabet mythanalytique Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie SERIE : Alphabet mythanalytique Je tente de peindre un alphabet mythanalytique pariétal, comme jadis les peintures symboliques des hommes préhistoriques. J’ai découvert chez mon fournisseur de rouleaux de toile à peindre des invendus parce qu’ils ont des défauts : ondulations, plissures raidies, déformations qui me permettaient d’imaginer les parois irrégulières des cavernes d’il y a 30 000 ans et m’incitaient à simplifier mes gestes et synthétiser les figurations de mes fabulations avec des couleurs monochromes en aplats saturés. Les mains après avoir été pour moi un geste anti-avant-gardiste, puis une dénonciation de la violence sociale, puis des émoticons, m’apparaissent maintenant comme le symbole de l’activité humaine. Je tends vers un alphabet de lettres reflétant les principales fabulations mythiques du monde actuel. Nous tissons des configurations de mythes et de métaphores qui y réfèrent. Nous organisons nos fabulations, telles un langage pour penser le monde et organiser notre gouverne entrecroisant la démocratie, la liberté, l’art, le progrès, la nature, l’économie, le cosmos, l’irrationnel… L’activité de notre cerveau est incessante, en veille, comme en insomnie, comme en sommeil. Nos mythes sont des repères focalisant simultanément à notre insu nos gouvernes et nos divagations nocturnes. Un mythe est une énergie qui prend nom et fait récit. Exemples bien connus : Dieu, la Raison, la Modernité, le Progrès, la Démocratie, la Liberté. L’énergie humaine qui s’exprime diversement selon les époques et les civilisations dans cette accumulation de mythes est immense, infatigable, résiliente. En Occident, c’est dans le développement accéléré des technologies numériques qu’elle s’incarne désormais. J’ai rassemblé ses icones emblématiques, traditionnellement les mains, maintenant le code binaire, les codes-barres, les diagrammes financiers, écologiques dans une série colorée, tant cette énergie se multiplie dans la plus grande diversité de nos activités humaines. Je l’ai peinte comme dans un miroir de nous-mêmes, qui nous provoque fixement. J’ai choisi de peindre vingt-huit énergies pour évoquer le cycle lunaire qui a gouverné les activités humaines depuis des millénaires. Mais j’ai décliné pour l’art deux lettres différentes, selon ses nuances et son importance, comme il existe dans divers alphabets ou lors de cette année bissextile 2024. Combinant ces lettres - devrais-je dire ces idéogrammes – on peut concevoir de développer un langage visuel évoquant des configurations de mythes associés qui traduisent la complexité de nos imaginaires sociaux. TOILE : L’énergie de la modernité Nous nous sommes auto-déclarés modernes en balayant les mythes sous le tapis. Mais ce sont les mythes qui nous gouvernent encore et toujours. Celui de la modernité demeure ambivalent. Elle est un château de cartes branlant sur des fondations récentes que nous tentons de mains d’Homme de maintenir debout et d’édifier toujours plus haut. La couleur orange en dit l’incertitude. Mais le bleu sauvage du ciel reste inchangé. La mythanalyse aussi relativiste qu’elle soit, nous aide à « rationaliser » plus lucidement nos choix mythiques entre ceux qui sont toxiques et ceux qui sont porteurs d’hyperhumanisme. Réf : publication à paraitre Les arts sont toujours premiers URL |

Référence : 22426 Titre : L'énergie individuelle Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Alphabet mythanalytique Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie SERIE : Alphabet mythanalytique Je tente de peindre un alphabet mythanalytique pariétal, comme jadis les peintures symboliques des hommes préhistoriques. J’ai découvert chez mon fournisseur de rouleaux de toile à peindre des invendus parce qu’ils ont des défauts : ondulations, plissures raidies, déformations qui me permettaient d’imaginer les parois irrégulières des cavernes d’il y a 30 000 ans et m’incitaient à simplifier mes gestes et synthétiser les figurations de mes fabulations avec des couleurs monochromes en aplats saturés. Les mains après avoir été pour moi un geste anti-avant-gardiste, puis une dénonciation de la violence sociale, puis des émoticons, m’apparaissent maintenant comme le symbole de l’activité humaine. Je tends vers un alphabet de lettres reflétant les principales fabulations mythiques du monde actuel. Nous tissons des configurations de mythes et de métaphores qui y réfèrent. Nous organisons nos fabulations, telles un langage pour penser le monde et organiser notre gouverne entrecroisant la démocratie, la liberté, l’art, le progrès, la nature, l’économie, le cosmos, l’irrationnel… L’activité de notre cerveau est incessante, en veille, comme en insomnie, comme en sommeil. Nos mythes sont des repères focalisant simultanément à notre insu nos gouvernes et nos divagations nocturnes. Un mythe est une énergie qui prend nom et fait récit. Exemples bien connus : Dieu, la Raison, la Modernité, le Progrès, la Démocratie, la Liberté. L’énergie humaine qui s’exprime diversement selon les époques et les civilisations dans cette accumulation de mythes est immense, infatigable, résiliente. En Occident, c’est dans le développement accéléré des technologies numériques qu’elle s’incarne désormais. J’ai rassemblé ses icones emblématiques, traditionnellement les mains, maintenant le code binaire, les codes-barres, les diagrammes financiers, écologiques dans une série colorée, tant cette énergie se multiplie dans la plus grande diversité de nos activités humaines. Je l’ai peinte comme dans un miroir de nous-mêmes, qui nous provoque fixement. J’ai choisi de peindre vingt-huit énergies pour évoquer le cycle lunaire qui a gouverné les activités humaines depuis des millénaires. Mais j’ai décliné pour l’art deux lettres différentes, selon ses nuances et son importance, comme il existe dans divers alphabets ou lors de cette année bissextile 2024. Combinant ces lettres - devrais-je dire ces idéogrammes – on peut concevoir de développer un langage visuel évoquant des configurations de mythes associés qui traduisent la complexité de nos imaginaires sociaux. TOILE : L’énergie individuelle Nous avons le sentiment qu’une énergie intérieure, biologique, nous singularise et nous donne la force de créer notre individualité et parfois de changer le monde plutôt que de nous résigner à la fatalité. Nous sommes ainsi des milliards d’énergies sur notre planète. Plusieurs appellent « âme » cette énergie individuelle, tant nous la mythifions. Cette énergie, je l’ai toujours ressentie et mise à l’épreuve. Aujourd’hui alors que le cancer me gruge les os, je regarde le sable noir qui s’écoule lentement du sablier. Le sable noir va-t-il tuer le crabe avant qu’il me tue? C’est une lutte à finir. Réf : publication à paraitre Les arts sont toujours premiers URL |

Référence : 22427 Titre : L'énergie sexuelle Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Alphabet mythanalytique Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie SERIE : Alphabet mythanalytique Je tente de peindre un alphabet mythanalytique pariétal, comme jadis les peintures symboliques des hommes préhistoriques. J’ai découvert chez mon fournisseur de rouleaux de toile à peindre des invendus parce qu’ils ont des défauts : ondulations, plissures raidies, déformations qui me permettaient d’imaginer les parois irrégulières des cavernes d’il y a 30 000 ans et m’incitaient à simplifier mes gestes et synthétiser les figurations de mes fabulations avec des couleurs monochromes en aplats saturés. Les mains après avoir été pour moi un geste anti-avant-gardiste, puis une dénonciation de la violence sociale, puis des émoticons, m’apparaissent maintenant comme le symbole de l’activité humaine. Je tends vers un alphabet de lettres reflétant les principales fabulations mythiques du monde actuel. Nous tissons des configurations de mythes et de métaphores qui y réfèrent. Nous organisons nos fabulations, telles un langage pour penser le monde et organiser notre gouverne entrecroisant la démocratie, la liberté, l’art, le progrès, la nature, l’économie, le cosmos, l’irrationnel… L’activité de notre cerveau est incessante, en veille, comme en insomnie, comme en sommeil. Nos mythes sont des repères focalisant simultanément à notre insu nos gouvernes et nos divagations nocturnes. Un mythe est une énergie qui prend nom et fait récit. Exemples bien connus : Dieu, la Raison, la Modernité, le Progrès, la Démocratie, la Liberté. L’énergie humaine qui s’exprime diversement selon les époques et les civilisations dans cette accumulation de mythes est immense, infatigable, résiliente. En Occident, c’est dans le développement accéléré des technologies numériques qu’elle s’incarne désormais. J’ai rassemblé ses icones emblématiques, traditionnellement les mains, maintenant le code binaire, les codes-barres, les diagrammes financiers, écologiques dans une série colorée, tant cette énergie se multiplie dans la plus grande diversité de nos activités humaines. Je l’ai peinte comme dans un miroir de nous-mêmes, qui nous provoque fixement. J’ai choisi de peindre vingt-huit énergies pour évoquer le cycle lunaire qui a gouverné les activités humaines depuis des millénaires. Mais j’ai décliné pour l’art deux lettres différentes, selon ses nuances et son importance, comme il existe dans divers alphabets ou lors de cette année bissextile 2024. Combinant ces lettres - devrais-je dire ces idéogrammes – on peut concevoir de développer un langage visuel évoquant des configurations de mythes associés qui traduisent la complexité de nos imaginaires sociaux. TOILE : L’énergie sexuelle Le sexe est apparu avec l’invention par la nature de la reproduction bisexuelle. Et il n’est plus là où l’on croit, mais dans la tête. Il obséda Freud au point d’en faire une théorie-fiction. Dans toutes les civilisations les mythes du sexe ont suscité les récits les plus innombrables pour le célébrer ou le condamner. Rose et noir les serpents se dressent et dansent pour le plaisir et s’enlacent jusqu’à la folie, la pornographie, la punition, la torture, le masochisme, le sadisme, le commerce. L’imaginaire de l’érotisme, unique à notre espèce, devient hypersensible face à l’instinct de transgression et à la petite mort. Réf : publication à paraitre Les arts sont toujours premiers URL |

Référence : 22428 Titre : L'énergie de l'éthique planétaire Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Alphabet mythanalytique Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie SERIE : Alphabet mythanalytique Je tente de peindre un alphabet mythanalytique pariétal, comme jadis les peintures symboliques des hommes préhistoriques. J’ai découvert chez mon fournisseur de rouleaux de toile à peindre des invendus parce qu’ils ont des défauts : ondulations, plissures raidies, déformations qui me permettaient d’imaginer les parois irrégulières des cavernes d’il y a 30 000 ans et m’incitaient à simplifier mes gestes et synthétiser les figurations de mes fabulations avec des couleurs monochromes en aplats saturés. Les mains après avoir été pour moi un geste anti-avant-gardiste, puis une dénonciation de la violence sociale, puis des émoticons, m’apparaissent maintenant comme le symbole de l’activité humaine. Je tends vers un alphabet de lettres reflétant les principales fabulations mythiques du monde actuel. Nous tissons des configurations de mythes et de métaphores qui y réfèrent. Nous organisons nos fabulations, telles un langage pour penser le monde et organiser notre gouverne entrecroisant la démocratie, la liberté, l’art, le progrès, la nature, l’économie, le cosmos, l’irrationnel… L’activité de notre cerveau est incessante, en veille, comme en insomnie, comme en sommeil. Nos mythes sont des repères focalisant simultanément à notre insu nos gouvernes et nos divagations nocturnes. Un mythe est une énergie qui prend nom et fait récit. Exemples bien connus : Dieu, la Raison, la Modernité, le Progrès, la Démocratie, la Liberté. L’énergie humaine qui s’exprime diversement selon les époques et les civilisations dans cette accumulation de mythes est immense, infatigable, résiliente. En Occident, c’est dans le développement accéléré des technologies numériques qu’elle s’incarne désormais. J’ai rassemblé ses icones emblématiques, traditionnellement les mains, maintenant le code binaire, les codes-barres, les diagrammes financiers, écologiques dans une série colorée, tant cette énergie se multiplie dans la plus grande diversité de nos activités humaines. Je l’ai peinte comme dans un miroir de nous-mêmes, qui nous provoque fixement. J’ai choisi de peindre vingt-huit énergies pour évoquer le cycle lunaire qui a gouverné les activités humaines depuis des millénaires. Mais j’ai décliné pour l’art deux lettres différentes, selon ses nuances et son importance, comme il existe dans divers alphabets ou lors de cette année bissextile 2024. Combinant ces lettres - devrais-je dire ces idéogrammes – on peut concevoir de développer un langage visuel évoquant des configurations de mythes associés qui traduisent la complexité de nos imaginaires sociaux. TOILE : L’énergie de l’éthique planétaire Ce mythe s’est imposé lors de la Révolution française avec la Déclaration des droits universels de la personne. Il a été bafoué tant et plus depuis, mais réaffirmé à plusieurs reprises solennellement. Avec la mondialisation, il est devenu planétaire. J’ai choisi la bigarrure pour souligner la diversité des cultures auxquelles il fait face. Mythe universaliste, non impérialiste mais plus impératif que cette diversité de valeurs, de religions, de coutumes qui le rejettent. Il faudra encore beaucoup d’efforts obstinés et de temps pour qu’il prévale grâce à notre conscience augmentée, planétaire en temps réel. Réf : publication à paraitre Les arts sont toujours premiers URL |

Référence : 22429 Titre : L'énergie du temps Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Alphabet mythanalytique Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie SERIE : Alphabet mythanalytique Je tente de peindre un alphabet mythanalytique pariétal, comme jadis les peintures symboliques des hommes préhistoriques. J’ai découvert chez mon fournisseur de rouleaux de toile à peindre des invendus parce qu’ils ont des défauts : ondulations, plissures raidies, déformations qui me permettaient d’imaginer les parois irrégulières des cavernes d’il y a 30 000 ans et m’incitaient à simplifier mes gestes et synthétiser les figurations de mes fabulations avec des couleurs monochromes en aplats saturés. Les mains après avoir été pour moi un geste anti-avant-gardiste, puis une dénonciation de la violence sociale, puis des émoticons, m’apparaissent maintenant comme le symbole de l’activité humaine. Je tends vers un alphabet de lettres reflétant les principales fabulations mythiques du monde actuel. Nous tissons des configurations de mythes et de métaphores qui y réfèrent. Nous organisons nos fabulations, telles un langage pour penser le monde et organiser notre gouverne entrecroisant la démocratie, la liberté, l’art, le progrès, la nature, l’économie, le cosmos, l’irrationnel… L’activité de notre cerveau est incessante, en veille, comme en insomnie, comme en sommeil. Nos mythes sont des repères focalisant simultanément à notre insu nos gouvernes et nos divagations nocturnes. Un mythe est une énergie qui prend nom et fait récit. Exemples bien connus : Dieu, la Raison, la Modernité, le Progrès, la Démocratie, la Liberté. L’énergie humaine qui s’exprime diversement selon les époques et les civilisations dans cette accumulation de mythes est immense, infatigable, résiliente. En Occident, c’est dans le développement accéléré des technologies numériques qu’elle s’incarne désormais. J’ai rassemblé ses icones emblématiques, traditionnellement les mains, maintenant le code binaire, les codes-barres, les diagrammes financiers, écologiques dans une série colorée, tant cette énergie se multiplie dans la plus grande diversité de nos activités humaines. Je l’ai peinte comme dans un miroir de nous-mêmes, qui nous provoque fixement. J’ai choisi de peindre vingt-huit énergies pour évoquer le cycle lunaire qui a gouverné les activités humaines depuis des millénaires. Mais j’ai décliné pour l’art deux lettres différentes, selon ses nuances et son importance, comme il existe dans divers alphabets ou lors de cette année bissextile 2024. Combinant ces lettres - devrais-je dire ces idéogrammes – on peut concevoir de développer un langage visuel évoquant des configurations de mythes associés qui traduisent la complexité de nos imaginaires sociaux. TOILE : L’énergie du temps Nous perdons la conscience du temps vertical et cyclique. Hegel le philosophe mythologue pensait que nous créons l’Histoire avec notre Raison, mais ce sont nos mains qui accélèrent le temps linéaire selon nos peurs et nos désirs. Le bleu obscur du temps mythique, sans tête, erre ici et là de son lourd vol déplumé ou broute comme un vieux pachyderme, invoquant en vain notre évolution passée, future. Le mythe du temps que traversent les millénaires ne tisse plus la trame de nos fabulations personnelles et collectives. Nous le réinventons. Entre nos mains il se soumet, indifférent. Réf : publication à paraitre Les arts sont toujours premiers URL |

Référence : 22430 Titre : Portrait de Vincent, le joueur audacieux Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Vincent Fischer Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Ma première épouse, Roselyne Laverton, m’a donné trois fils brillants dont je lui serai reconnaissant à vie : Vincent le joueur, Arnaud le magicien et Fabrice le lucide. Voici leurs portraits tels que je les vois et les aime à mon âge vénérable de 82 ans, espérant bien sûr dans ces hommages ne pas simplifier par des traits dominants leurs personnalités complexes. Ce portrait de Vincent décidé et rayonnant méritait d’être couronné. Mais cela m’a paru trop contraignant. Je lui ai laissé le sceptre, mais rendu sa liberté. Comme toutes les cartes à jouer, il se regarde dans les deux sens et c’est le talent qu’on admire. Je lui ai donné deux de mes gris-gris, la main et un peu de poudre de code-barre. Réf : Courriel 26/05/2024 |

Référence : 22431 Titre : Portrait d'Arnaud, le magicien Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Arnaud Fischer Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Ma première épouse, Roselyne Laverton, m’a donné trois fils brillants dont je lui serai reconnaissant à vie : Vincent le joueur, Arnaud le magicien et Fabrice le lucide. Voici leurs portraits tels que je les vois et les aime à mon âge vénérable de 82 ans, espérant bien sûr dans ces hommages ne pas simplifier par des traits dominants leurs personnalités complexes. Portrait d’Arnaud le magicien. Du jeu de cartes qu’il agite, il sort deux cartes maîtresses, le 0 et le 1. Et dans une nuée bleutée, il fait apparaître le bon génie du numérique, qui lui ressemble énormément. Applaudissements. Réf : Courriel 26/05/2024 |

Référence : 22432 Titre : Portrait de Fabrice, le lucide Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dimensions 92,5 x 152 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Fabrice Fischer Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Ma première épouse, Roselyne Laverton, m’a donné trois fils brillants dont je lui serai reconnaissant à vie : Vincent le joueur, Arnaud le magicien et Fabrice le lucide. Voici leurs portraits tels que je les vois et les aime à mon âge vénérable de 82 ans, espérant bien sûr dans ces hommages ne pas simplifier par des traits dominants leurs personnalités complexes. Fabrice le lucide donne l’heure juste, même impossible. Il fait tourner les engrenages manuels sur le cadran numérique, mêle diagrammes, vecteurs et ressorts pour analyser les émotions et démonter les pensées convenues sous un petit nuage rose de générosité. Réf : Courriel 26/05/2024 |

Référence : 22433 Titre : Fragment CB20001 Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Dimensions 152 x 92,5 Signature signature au dos de la toile et titre en bas | Provenance Collection particulière Fabrice Fischer Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Fin du IIIe millénaire de notre ère. Malgré toutes les prédictions catastrophiques, il n’y a pas eu de désastre planétaire, pas d’apocalypse, mais le temp passé s'est accéléré et notre mémoire numérique s’est évaporée dans les nuages du cloud comme la mémoire orale des époques anciennes. L’obsolescence et l’inflation de l’actualité ont cédé au précipité événementiel. Les bogs ont effacé les datas. Seuls subsistent des textes et documents imprimés reproduits et cités de génération en génération, comme de vieux manuscrits, qui nous en gardent une mémoire académique prisée des spécialistes. Les grands mythes du XXe siècle, la bataille écologique, le code binaire et l’intelligence artificielle, l’individualisme et la démocratie participative sont passés au rang de mythologies. Le biomimétisme, la génétique générative et l’hyperhumanisme se sont imposés dans notre nouvelle condition planétaire J’ai retrouvé des fragments industriels de codes-barres et de codes carrés, de diagrammes quantitatifs, de variations boursières sur des déchets plastiques, une nouvelle Pierre de Rosette et même d’improbables galets peints de cette période désormais appelée le Néonumérique. Ce sont des traces emblématiques de la révolution technologique du XXe siècle. Je les collectionne dans un but éminemment éducatif, comme jadis mon arrière-grand-père Édouard Piette étiquetait les artefacts préhistoriques qu’il avait découverts et présenta dans des vitrines de l’Exposition universelle de 1900, puis pour le Musée d’archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye. J’ai adopté à mon tour cette présentation par vitrines imaginales. Réf : Courriel 26/04/2024 |

Référence : 22434 Titre : Fragment CB20002 Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Dimensions 152 x 92,5 Signature signature au dos de la toile et titre en bas | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Fin du IIIe millénaire de notre ère. Malgré toutes les prédictions catastrophiques, il n’y a pas eu de désastre planétaire, pas d’apocalypse, mais le temp passé s'est accéléré et notre mémoire numérique s’est évaporée dans les nuages du cloud comme la mémoire orale des époques anciennes. L’obsolescence et l’inflation de l’actualité ont cédé au précipité événementiel. Les bogs ont effacé les datas. Seuls subsistent des textes et documents imprimés reproduits et cités de génération en génération, comme de vieux manuscrits, qui nous en gardent une mémoire académique prisée des spécialistes. Les grands mythes du XXe siècle, la bataille écologique, le code binaire et l’intelligence artificielle, l’individualisme et la démocratie participative sont passés au rang de mythologies. Le biomimétisme, la génétique générative et l’hyperhumanisme se sont imposés dans notre nouvelle condition planétaire J’ai retrouvé des fragments industriels de codes-barres et de codes carrés, de diagrammes quantitatifs, de variations boursières sur des déchets plastiques, une nouvelle Pierre de Rosette et même d’improbables galets peints de cette période désormais appelée le Néonumérique. Ce sont des traces emblématiques de la révolution technologique du XXe siècle. Je les collectionne dans un but éminemment éducatif, comme jadis mon arrière-grand-père Édouard Piette étiquetait les artefacts préhistoriques qu’il avait découverts et présenta dans des vitrines de l’Exposition universelle de 1900, puis pour le Musée d’archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye. J’ai adopté à mon tour cette présentation par vitrines imaginales. Réf : Courriel 26/04/2024 |

Référence : 22435 Titre : Fragments CB20003 Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Dimensions 152 x 92,5 Signature signature au dos de la toile et titre en bas | Provenance Collection Lucas Vamos Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Un collectionneur particulièrement heureux ! URL Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Fin du IIIe millénaire de notre ère. Malgré toutes les prédictions catastrophiques, il n’y a pas eu de désastre planétaire, pas d’apocalypse, mais le temp passé s'est accéléré et notre mémoire numérique s’est évaporée dans les nuages du cloud comme la mémoire orale des époques anciennes. L’obsolescence et l’inflation de l’actualité ont cédé au précipité événementiel. Les bogs ont effacé les datas. Seuls subsistent des textes et documents imprimés reproduits et cités de génération en génération, comme de vieux manuscrits, qui nous en gardent une mémoire académique prisée des spécialistes. Les grands mythes du XXe siècle, la bataille écologique, le code binaire et l’intelligence artificielle, l’individualisme et la démocratie participative sont passés au rang de mythologies. Le biomimétisme, la génétique générative et l’hyperhumanisme se sont imposés dans notre nouvelle condition planétaire J’ai retrouvé des fragments industriels de codes-barres et de codes carrés, de diagrammes quantitatifs, de variations boursières sur des déchets plastiques, une nouvelle Pierre de Rosette et même d’improbables galets peints de cette période désormais appelée le Néonumérique. Ce sont des traces emblématiques de la révolution technologique du XXe siècle. Je les collectionne dans un but éminemment éducatif, comme jadis mon arrière-grand-père Édouard Piette étiquetait les artefacts préhistoriques qu’il avait découverts et présenta dans des vitrines de l’Exposition universelle de 1900, puis pour le Musée d’archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye. J’ai adopté à mon tour cette présentation par vitrines imaginales. Réf : Courriel 26/04/2024 |

Référence : 22436 Titre : Fragments CB20004 Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Dimensions 152 x 92,5 Signature signature au dos de la toile et titre en bas | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Fin du IIIe millénaire de notre ère. Malgré toutes les prédictions catastrophiques, il n’y a pas eu de désastre planétaire, pas d’apocalypse, mais le temp passé s'est accéléré et notre mémoire numérique s’est évaporée dans les nuages du cloud comme la mémoire orale des époques anciennes. L’obsolescence et l’inflation de l’actualité ont cédé au précipité événementiel. Les bogs ont effacé les datas. Seuls subsistent des textes et documents imprimés reproduits et cités de génération en génération, comme de vieux manuscrits, qui nous en gardent une mémoire académique prisée des spécialistes. Les grands mythes du XXe siècle, la bataille écologique, le code binaire et l’intelligence artificielle, l’individualisme et la démocratie participative sont passés au rang de mythologies. Le biomimétisme, la génétique générative et l’hyperhumanisme se sont imposés dans notre nouvelle condition planétaire J’ai retrouvé des fragments industriels de codes-barres et de codes carrés, de diagrammes quantitatifs, de variations boursières sur des déchets plastiques, une nouvelle Pierre de Rosette et même d’improbables galets peints de cette période désormais appelée le Néonumérique. Ce sont des traces emblématiques de la révolution technologique du XXe siècle. Je les collectionne dans un but éminemment éducatif, comme jadis mon arrière-grand-père Édouard Piette étiquetait les artefacts préhistoriques qu’il avait découverts et présenta dans des vitrines de l’Exposition universelle de 1900, puis pour le Musée d’archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye. J’ai adopté à mon tour cette présentation par vitrines imaginales. Réf : Courriel 26/04/2024 |

Référence : 22437 Titre : Fragments CB200031 Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Dimensions 152 x 92,5 Signature signature au dos de la toile et titre en bas | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Fin du IIIe millénaire de notre ère. Malgré toutes les prédictions catastrophiques, il n’y a pas eu de désastre planétaire, pas d’apocalypse, mais le temp passé s'est accéléré et notre mémoire numérique s’est évaporée dans les nuages du cloud comme la mémoire orale des époques anciennes. L’obsolescence et l’inflation de l’actualité ont cédé au précipité événementiel. Les bogs ont effacé les datas. Seuls subsistent des textes et documents imprimés reproduits et cités de génération en génération, comme de vieux manuscrits, qui nous en gardent une mémoire académique prisée des spécialistes. Les grands mythes du XXe siècle, la bataille écologique, le code binaire et l’intelligence artificielle, l’individualisme et la démocratie participative sont passés au rang de mythologies. Le biomimétisme, la génétique générative et l’hyperhumanisme se sont imposés dans notre nouvelle condition planétaire J’ai retrouvé des fragments industriels de codes-barres et de codes carrés, de diagrammes quantitatifs, de variations boursières sur des déchets plastiques, une nouvelle Pierre de Rosette et même d’improbables galets peints de cette période désormais appelée le Néonumérique. Ce sont des traces emblématiques de la révolution technologique du XXe siècle. Je les collectionne dans un but éminemment éducatif, comme jadis mon arrière-grand-père Édouard Piette étiquetait les artefacts préhistoriques qu’il avait découverts et présenta dans des vitrines de l’Exposition universelle de 1900, puis pour le Musée d’archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye. J’ai adopté à mon tour cette présentation par vitrines imaginales. Réf : Courriel 26/04/2024 |

Référence : 22438 Titre : Fragments 200033-35 Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Dimensions 152 x 92,5 Signature signature au dos de la toile et titre en bas | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Fin du IIIe millénaire de notre ère. Malgré toutes les prédictions catastrophiques, il n’y a pas eu de désastre planétaire, pas d’apocalypse, mais le temp passé s'est accéléré et notre mémoire numérique s’est évaporée dans les nuages du cloud comme la mémoire orale des époques anciennes. L’obsolescence et l’inflation de l’actualité ont cédé au précipité événementiel. Les bogs ont effacé les datas. Seuls subsistent des textes et documents imprimés reproduits et cités de génération en génération, comme de vieux manuscrits, qui nous en gardent une mémoire académique prisée des spécialistes. Les grands mythes du XXe siècle, la bataille écologique, le code binaire et l’intelligence artificielle, l’individualisme et la démocratie participative sont passés au rang de mythologies. Le biomimétisme, la génétique générative et l’hyperhumanisme se sont imposés dans notre nouvelle condition planétaire J’ai retrouvé des fragments industriels de codes-barres et de codes carrés, de diagrammes quantitatifs, de variations boursières sur des déchets plastiques, une nouvelle Pierre de Rosette et même d’improbables galets peints de cette période désormais appelée le Néonumérique. Ce sont des traces emblématiques de la révolution technologique du XXe siècle. Je les collectionne dans un but éminemment éducatif, comme jadis mon arrière-grand-père Édouard Piette étiquetait les artefacts préhistoriques qu’il avait découverts et présenta dans des vitrines de l’Exposition universelle de 1900, puis pour le Musée d’archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye. J’ai adopté à mon tour cette présentation par vitrines imaginales. Réf : Courriel 26/04/2024 |

Référence : 22441 Titre : Fragments CB200022 Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Dimensions 152 x 92,5 Signature signature au dos de la toile et titre en bas | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Fin du IIIe millénaire de notre ère. Malgré toutes les prédictions catastrophiques, il n’y a pas eu de désastre planétaire, pas d’apocalypse, mais le temp passé s'est accéléré et notre mémoire numérique s’est évaporée dans les nuages du cloud comme la mémoire orale des époques anciennes. L’obsolescence et l’inflation de l’actualité ont cédé au précipité événementiel. Les bogs ont effacé les datas. Seuls subsistent des textes et documents imprimés reproduits et cités de génération en génération, comme de vieux manuscrits, qui nous en gardent une mémoire académique prisée des spécialistes. Les grands mythes du XXe siècle, la bataille écologique, le code binaire et l’intelligence artificielle, l’individualisme et la démocratie participative sont passés au rang de mythologies. Le biomimétisme, la génétique générative et l’hyperhumanisme se sont imposés dans notre nouvelle condition planétaire J’ai retrouvé des fragments industriels de codes-barres et de codes carrés, de diagrammes quantitatifs, de variations boursières sur des déchets plastiques, une nouvelle Pierre de Rosette et même d’improbables galets peints de cette période désormais appelée le Néonumérique. Ce sont des traces emblématiques de la révolution technologique du XXe siècle. Je les collectionne dans un but éminemment éducatif, comme jadis mon arrière-grand-père Édouard Piette étiquetait les artefacts préhistoriques qu’il avait découverts et présenta dans des vitrines de l’Exposition universelle de 1900, puis pour le Musée d’archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye. J’ai adopté à mon tour cette présentation par vitrines imaginales. Réf : Courriel 26/04/2024 |

Référence : 22442 Titre : Fragments CB 200024-26 Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Dimensions 152 x 92,5 Signature signature au dos de la toile et titre en bas | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Fin du IIIe millénaire de notre ère. Malgré toutes les prédictions catastrophiques, il n’y a pas eu de désastre planétaire, pas d’apocalypse, mais le temp passé s'est accéléré et notre mémoire numérique s’est évaporée dans les nuages du cloud comme la mémoire orale des époques anciennes. L’obsolescence et l’inflation de l’actualité ont cédé au précipité événementiel. Les bogs ont effacé les datas. Seuls subsistent des textes et documents imprimés reproduits et cités de génération en génération, comme de vieux manuscrits, qui nous en gardent une mémoire académique prisée des spécialistes. Les grands mythes du XXe siècle, la bataille écologique, le code binaire et l’intelligence artificielle, l’individualisme et la démocratie participative sont passés au rang de mythologies. Le biomimétisme, la génétique générative et l’hyperhumanisme se sont imposés dans notre nouvelle condition planétaire J’ai retrouvé des fragments industriels de codes-barres et de codes carrés, de diagrammes quantitatifs, de variations boursières sur des déchets plastiques, une nouvelle Pierre de Rosette et même d’improbables galets peints de cette période désormais appelée le Néonumérique. Ce sont des traces emblématiques de la révolution technologique du XXe siècle. Je les collectionne dans un but éminemment éducatif, comme jadis mon arrière-grand-père Édouard Piette étiquetait les artefacts préhistoriques qu’il avait découverts et présenta dans des vitrines de l’Exposition universelle de 1900, puis pour le Musée d’archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye. J’ai adopté à mon tour cette présentation par vitrines imaginales. Réf : Courriel 26/04/2024 |

Référence : 22443 Titre : Fragments CB 200027-29 Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Dimensions 152 x 92,5 Signature signature au dos de la toile et titre en bas | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Fin du IIIe millénaire de notre ère. Malgré toutes les prédictions catastrophiques, il n’y a pas eu de désastre planétaire, pas d’apocalypse, mais le temp passé s'est accéléré et notre mémoire numérique s’est évaporée dans les nuages du cloud comme la mémoire orale des époques anciennes. L’obsolescence et l’inflation de l’actualité ont cédé au précipité événementiel. Les bogs ont effacé les datas. Seuls subsistent des textes et documents imprimés reproduits et cités de génération en génération, comme de vieux manuscrits, qui nous en gardent une mémoire académique prisée des spécialistes. Les grands mythes du XXe siècle, la bataille écologique, le code binaire et l’intelligence artificielle, l’individualisme et la démocratie participative sont passés au rang de mythologies. Le biomimétisme, la génétique générative et l’hyperhumanisme se sont imposés dans notre nouvelle condition planétaire J’ai retrouvé des fragments industriels de codes-barres et de codes carrés, de diagrammes quantitatifs, de variations boursières sur des déchets plastiques, une nouvelle Pierre de Rosette et même d’improbables galets peints de cette période désormais appelée le Néonumérique. Ce sont des traces emblématiques de la révolution technologique du XXe siècle. Je les collectionne dans un but éminemment éducatif, comme jadis mon arrière-grand-père Édouard Piette étiquetait les artefacts préhistoriques qu’il avait découverts et présenta dans des vitrines de l’Exposition universelle de 1900, puis pour le Musée d’archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye. J’ai adopté à mon tour cette présentation par vitrines imaginales. Réf : Courriel 26/04/2024 |

Référence : 22444 Titre : Fragments CB 200030-32 Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Dimensions 152 x 92,5 Signature signature au dos de la toile et titre en bas | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Fin du IIIe millénaire de notre ère. Malgré toutes les prédictions catastrophiques, il n’y a pas eu de désastre planétaire, pas d’apocalypse, mais le temp passé s'est accéléré et notre mémoire numérique s’est évaporée dans les nuages du cloud comme la mémoire orale des époques anciennes. L’obsolescence et l’inflation de l’actualité ont cédé au précipité événementiel. Les bogs ont effacé les datas. Seuls subsistent des textes et documents imprimés reproduits et cités de génération en génération, comme de vieux manuscrits, qui nous en gardent une mémoire académique prisée des spécialistes. Les grands mythes du XXe siècle, la bataille écologique, le code binaire et l’intelligence artificielle, l’individualisme et la démocratie participative sont passés au rang de mythologies. Le biomimétisme, la génétique générative et l’hyperhumanisme se sont imposés dans notre nouvelle condition planétaire J’ai retrouvé des fragments industriels de codes-barres et de codes carrés, de diagrammes quantitatifs, de variations boursières sur des déchets plastiques, une nouvelle Pierre de Rosette et même d’improbables galets peints de cette période désormais appelée le Néonumérique. Ce sont des traces emblématiques de la révolution technologique du XXe siècle. Je les collectionne dans un but éminemment éducatif, comme jadis mon arrière-grand-père Édouard Piette étiquetait les artefacts préhistoriques qu’il avait découverts et présenta dans des vitrines de l’Exposition universelle de 1900, puis pour le Musée d’archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye. J’ai adopté à mon tour cette présentation par vitrines imaginales. Réf : Courriel 26/04/2024 |

Référence : 22445 Titre : Pierre de rosette QR 2003 Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Dimensions 92,5 x 152 Signature signature au dos de la toile et titre en bas | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Fin du IIIe millénaire de notre ère. Malgré toutes les prédictions catastrophiques, il n’y a pas eu de désastre planétaire, pas d’apocalypse, mais le temp passé s'est accéléré et notre mémoire numérique s’est évaporée dans les nuages du cloud comme la mémoire orale des époques anciennes. L’obsolescence et l’inflation de l’actualité ont cédé au précipité événementiel. Les bogs ont effacé les datas. Seuls subsistent des textes et documents imprimés reproduits et cités de génération en génération, comme de vieux manuscrits, qui nous en gardent une mémoire académique prisée des spécialistes. Les grands mythes du XXe siècle, la bataille écologique, le code binaire et l’intelligence artificielle, l’individualisme et la démocratie participative sont passés au rang de mythologies. Le biomimétisme, la génétique générative et l’hyperhumanisme se sont imposés dans notre nouvelle condition planétaire J’ai retrouvé des fragments industriels de codes-barres et de codes carrés, de diagrammes quantitatifs, de variations boursières sur des déchets plastiques, une nouvelle Pierre de Rosette et même d’improbables galets peints de cette période désormais appelée le Néonumérique. Ce sont des traces emblématiques de la révolution technologique du XXe siècle. Je les collectionne dans un but éminemment éducatif, comme jadis mon arrière-grand-père Édouard Piette étiquetait les artefacts préhistoriques qu’il avait découverts et présenta dans des vitrines de l’Exposition universelle de 1900, puis pour le Musée d’archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye. J’ai adopté à mon tour cette présentation par vitrines imaginales. Réf : Courriel 26/04/2024 |

Référence : 22446 Titre : Galets peints "la vie" Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Dimensions 152 x 92,5 Signature signature au dos de la toile et titre en bas | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Mon tableau préféré ! Je pensais souvent depuis qqs semaines à ce que serait ce tableau. Maintenant qu’il est là, il m’hypnotise. Je ne cesse de le regarder! Il est plus fort que moi. Il a un pouvoir irrationnel sur moi. Il est ma Joconde. Réf : Couriel 01/07/2024 Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Fin du IIIe millénaire de notre ère. Malgré toutes les prédictions catastrophiques, il n’y a pas eu de désastre planétaire, pas d’apocalypse, mais le temp passé s'est accéléré et notre mémoire numérique s’est évaporée dans les nuages du cloud comme la mémoire orale des époques anciennes. L’obsolescence et l’inflation de l’actualité ont cédé au précipité événementiel. Les bogs ont effacé les datas. Seuls subsistent des textes et documents imprimés reproduits et cités de génération en génération, comme de vieux manuscrits, qui nous en gardent une mémoire académique prisée des spécialistes. Les grands mythes du XXe siècle, la bataille écologique, le code binaire et l’intelligence artificielle, l’individualisme et la démocratie participative sont passés au rang de mythologies. Le biomimétisme, la génétique générative et l’hyperhumanisme se sont imposés dans notre nouvelle condition planétaire J’ai retrouvé des fragments industriels de codes-barres et de codes carrés, de diagrammes quantitatifs, de variations boursières sur des déchets plastiques, une nouvelle Pierre de Rosette et même d’improbables galets peints de cette période désormais appelée le Néonumérique. Ce sont des traces emblématiques de la révolution technologique du XXe siècle. Je les collectionne dans un but éminemment éducatif, comme jadis mon arrière-grand-père Édouard Piette étiquetait les artefacts préhistoriques qu’il avait découverts et présenta dans des vitrines de l’Exposition universelle de 1900, puis pour le Musée d’archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye. J’ai adopté à mon tour cette présentation par vitrines imaginales. Réf : Courriel 26/04/2024 |

Référence : 22447 Titre : Codes binaires quantiques Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Dimensions 152 x 92,5 Signature signature au dos de la toile et titre en bas | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Fin du IIIe millénaire de notre ère. Malgré toutes les prédictions catastrophiques, il n’y a pas eu de désastre planétaire, pas d’apocalypse, mais le temp passé s'est accéléré et notre mémoire numérique s’est évaporée dans les nuages du cloud comme la mémoire orale des époques anciennes. L’obsolescence et l’inflation de l’actualité ont cédé au précipité événementiel. Les bogs ont effacé les datas. Seuls subsistent des textes et documents imprimés reproduits et cités de génération en génération, comme de vieux manuscrits, qui nous en gardent une mémoire académique prisée des spécialistes. Les grands mythes du XXe siècle, la bataille écologique, le code binaire et l’intelligence artificielle, l’individualisme et la démocratie participative sont passés au rang de mythologies. Le biomimétisme, la génétique générative et l’hyperhumanisme se sont imposés dans notre nouvelle condition planétaire J’ai retrouvé des fragments industriels de codes-barres et de codes carrés, de diagrammes quantitatifs, de variations boursières sur des déchets plastiques, une nouvelle Pierre de Rosette et même d’improbables galets peints de cette période désormais appelée le Néonumérique. Ce sont des traces emblématiques de la révolution technologique du XXe siècle. Je les collectionne dans un but éminemment éducatif, comme jadis mon arrière-grand-père Édouard Piette étiquetait les artefacts préhistoriques qu’il avait découverts et présenta dans des vitrines de l’Exposition universelle de 1900, puis pour le Musée d’archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye. J’ai adopté à mon tour cette présentation par vitrines imaginales. Réf : Courriel 26/04/2024 |

Référence : 22460 Titre : Portrait de Ginette Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dimensions 92,5 x 9é,5 Signature et titre au dos de la toile | Provenance Collection particulière Ginette Major Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Commentaire au dos de la toile : portrait solaire de Ginette avec ses mains en majeur, les miennes en mineur. Expositions Bibliographie La main tendue de Ginette en bas à droite annonce le « mouvement du soleil » dans le futur pour renaître toujours à l’Est. Réf : Courriel 26/05/2024 |

Référence : 22461 Titre : Fragments CB 200023 Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Dimensions 152 x 92,5 Signature signature au dos de la toile et titre en bas | Provenance Collection particulière Fabrice Fischer Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Fin du IIIe millénaire de notre ère. Malgré toutes les prédictions catastrophiques, il n’y a pas eu de désastre planétaire, pas d’apocalypse, mais le temp passé s'est accéléré et notre mémoire numérique s’est évaporée dans les nuages du cloud comme la mémoire orale des époques anciennes. L’obsolescence et l’inflation de l’actualité ont cédé au précipité événementiel. Les bogs ont effacé les datas. Seuls subsistent des textes et documents imprimés reproduits et cités de génération en génération, comme de vieux manuscrits, qui nous en gardent une mémoire académique prisée des spécialistes. Les grands mythes du XXe siècle, la bataille écologique, le code binaire et l’intelligence artificielle, l’individualisme et la démocratie participative sont passés au rang de mythologies. Le biomimétisme, la génétique générative et l’hyperhumanisme se sont imposés dans notre nouvelle condition planétaire J’ai retrouvé des fragments industriels de codes-barres et de codes carrés, de diagrammes quantitatifs, de variations boursières sur des déchets plastiques, une nouvelle Pierre de Rosette et même d’improbables galets peints de cette période désormais appelée le Néonumérique. Ce sont des traces emblématiques de la révolution technologique du XXe siècle. Je les collectionne dans un but éminemment éducatif, comme jadis mon arrière-grand-père Édouard Piette étiquetait les artefacts préhistoriques qu’il avait découverts et présenta dans des vitrines de l’Exposition universelle de 1900, puis pour le Musée d’archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye. J’ai adopté à mon tour cette présentation par vitrines imaginales. Réf : Courriel 26/04/2024 |

Référence : 22439 Titre : Galets peints QR 2001-2-3 Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Dimensions 152 x 92,5 Signature signature au dos de la toile et titre en bas | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Fin du IIIe millénaire de notre ère. Malgré toutes les prédictions catastrophiques, il n’y a pas eu de désastre planétaire, pas d’apocalypse, mais le temp passé s'est accéléré et notre mémoire numérique s’est évaporée dans les nuages du cloud comme la mémoire orale des époques anciennes. L’obsolescence et l’inflation de l’actualité ont cédé au précipité événementiel. Les bogs ont effacé les datas. Seuls subsistent des textes et documents imprimés reproduits et cités de génération en génération, comme de vieux manuscrits, qui nous en gardent une mémoire académique prisée des spécialistes. Les grands mythes du XXe siècle, la bataille écologique, le code binaire et l’intelligence artificielle, l’individualisme et la démocratie participative sont passés au rang de mythologies. Le biomimétisme, la génétique générative et l’hyperhumanisme se sont imposés dans notre nouvelle condition planétaire J’ai retrouvé des fragments industriels de codes-barres et de codes carrés, de diagrammes quantitatifs, de variations boursières sur des déchets plastiques, une nouvelle Pierre de Rosette et même d’improbables galets peints de cette période désormais appelée le Néonumérique. Ce sont des traces emblématiques de la révolution technologique du XXe siècle. Je les collectionne dans un but éminemment éducatif, comme jadis mon arrière-grand-père Édouard Piette étiquetait les artefacts préhistoriques qu’il avait découverts et présenta dans des vitrines de l’Exposition universelle de 1900, puis pour le Musée d’archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye. J’ai adopté à mon tour cette présentation par vitrines imaginales. Réf : Courriel 26/04/2024 |

Référence : 22440 Titre : Galets peints QR 2004-5-6 Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Dimensions 152 x 92,5 Signature signature au dos de la toile et titre en bas | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Musée imaginal d’archéologie du XXe siècle Fin du IIIe millénaire de notre ère. Malgré toutes les prédictions catastrophiques, il n’y a pas eu de désastre planétaire, pas d’apocalypse, mais le temp passé s'est accéléré et notre mémoire numérique s’est évaporée dans les nuages du cloud comme la mémoire orale des époques anciennes. L’obsolescence et l’inflation de l’actualité ont cédé au précipité événementiel. Les bogs ont effacé les datas. Seuls subsistent des textes et documents imprimés reproduits et cités de génération en génération, comme de vieux manuscrits, qui nous en gardent une mémoire académique prisée des spécialistes. Les grands mythes du XXe siècle, la bataille écologique, le code binaire et l’intelligence artificielle, l’individualisme et la démocratie participative sont passés au rang de mythologies. Le biomimétisme, la génétique générative et l’hyperhumanisme se sont imposés dans notre nouvelle condition planétaire J’ai retrouvé des fragments industriels de codes-barres et de codes carrés, de diagrammes quantitatifs, de variations boursières sur des déchets plastiques, une nouvelle Pierre de Rosette et même d’improbables galets peints de cette période désormais appelée le Néonumérique. Ce sont des traces emblématiques de la révolution technologique du XXe siècle. Je les collectionne dans un but éminemment éducatif, comme jadis mon arrière-grand-père Édouard Piette étiquetait les artefacts préhistoriques qu’il avait découverts et présenta dans des vitrines de l’Exposition universelle de 1900, puis pour le Musée d’archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye. J’ai adopté à mon tour cette présentation par vitrines imaginales. Réf : Courriel 26/04/2024 |

Référence : 22448 Titre : Sac de papier noir ? Non…(voir commentaire) Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dimensions 152 x152 Signature signature au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Couverture de LIGEIA N° 217-220 « Art et Energie » Bibliographie Sac de papier noir? Non. Homo numericus, premier portrait parlant (L’énergie humaine Quelle aventure !) et première peinture d’art brut numérique. Un titre exceptionnellement long et raffiné pour compenser la brutalité de l’œuvre. Réf : Courriel 18/06/2024 |

Référence : 22449 Titre : Arts avant-gardistes Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Série Sorbonne 1/9 Dimensions 150,5 x102 Signature signature au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Paris, La Sorbonne – Journée d’étude « Les arts sont toujours premiers », 10 février 2025 Bibliographie Les arts sont toujours premiers, même avant-gardistes. Ce code Quick Response en hommage aux nymphéas de Claude Monet, entre terre et ciel, est-il un appel urgent à réparation écologique ? Un geste pictural rétrograde ? La flèche du temps présent ne recule pas et l’énigme de la nature demeure entière. Réf : Courriel 15/09/2024 |

Référence : 22450 Titre : Arts futuristes Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Série Sorbonne 2/9 Dimensions 152 x102 Signature signature au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Paris, La Sorbonne – Journée d’étude « Les arts sont toujours premiers », 10 février 2025 Bibliographie Les arts sont toujours premiers, même futuristes. Marinetti « crachait chaque jour sur l’autel de l’art » au nom de la modernité. Évoquant La Rivolta de Luigi Russolo et la Lampe à arc de Giacomo Balla, ce code QR, qui impose la vitesse et le progrès technologique qu’exigeait le futurisme en dit moins sur notre destinée que la main préhistorique. Réf : Courriel 15/09/2024 |

Référence : 22451 Titre : Arts numériques Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Série Sorbonne 3/9 Dimensions 152 x102 Signature signature au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Paris, La Sorbonne – Journée d’étude « Les arts sont toujours premiers », 10 février 2025 Bibliographie Les arts sont toujours premiers, même numériques. L’outil binaire de ce code QR est d’une puissance exponentielle, mais aveugle. Il a moins de sens virtuel que la main préhistorique, symbole premier du rapport biotechnique de l’homme au monde, qu’il imposait directement sur la matrice souterraine de la nature pour communiquer avec elle. Réf : Courriel 15/09/2024 |

Référence : 22452 Titre : Arts iconiques Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Série Sorbonne 4/9 Dimensions 151 x102 Signature signature au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Paris, La Sorbonne – Journée d’étude « Les arts sont toujours premiers », 10 février 2025 Bibliographie Les arts sont toujours premiers, toujours iconiques, dans tous les arts, le cinéma, la bande dessinée, la littérature, avec ou sans auréole argent, or, avec ou sans cadre, en arabesque comme en clair-obscur. C’est ainsi que fonctionnent aussi la pensée et la mémoire qui synthétisent notre rapport premier au monde et au vivant. Chaque homme est le centre du cosmos. Réf : Courriel 15/09/2024 |

Référence : 22453 Titre : Arts constructivistes Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Série Sorbonne 5/9 Dimensions 145 x102 Signature signature au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Paris, La Sorbonne – Journée d’étude « Les arts sont toujours premiers », 10 février 2025 Bibliographie Les arts sont toujours premiers, même constructivistes, même rouge soviet. La lumière aveuglante du nouveau monde des bolcheviks brise l’icône stakhanoviste dans les mécanismes dentés et le bruit infernal des machines. Cet enthousiasme créatif révolutionnaire n’a pas résisté longtemps au Petit père des peuples. Réf : Courriel 15/09/2024 |

Référence : 22454 Titre : Arts conceptuels Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Série Sorbonne 6/9 Dimensions 141 x102 Signature signature au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Paris, La Sorbonne – Journée d’étude « Les arts sont toujours premiers », 10 février 2025 Bibliographie Les arts sont toujours premiers, même conceptuels. Du fond de la caverne platonicienne, cherchant la lumière révélatrice des eidos, trois artistes s’interrogent avec Kosuth sur l’idée première de chaise et ses trois simulacres légèrement posés autour d’un tapis volant numérique avant de s’y assoir. Art is Art, is Art ? Réf : Courriel 15/09/2024 |

Référence : 22455 Titre : Arts mythanalytiques Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Série Sorbonne 7/9 Dimensions 141 x102 Signature signature au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Paris, La Sorbonne – Journée d’étude « Les arts sont toujours premiers », 10 février 2025 Bibliographie Les arts sont toujours premiers, même mythanalytiques. Tout ce qui est réel est fabulatoire, tout ce qui est fabulatoire est réel, mais un coup de tampon jamais n’abolira l’urgence de repérer, déchiffrer et choisir éthiquement nos fabulations dans la bigarrure mythique bien réelle de nos imaginaires sociaux, les partager et rejeter les hallucinations toxiques. Réf : Courriel 15/09/2024 |

Référence : 22456 Titre : Arts sociologiques Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Série Sorbonne 8/9 Dimensions 151 x102 Signature signature au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Paris, La Sorbonne – Journée d’étude « Les arts sont toujours premiers », 10 février 2025 Bibliographie ART ! Avez-vous quelque chose à déclarer ? Les arts sont toujours premiers, même sociologiques. Les brouillages et aspérités de ce code QR en expriment mieux l’incertitude, la recherche mythanalytique, philosophique, éthique et l’esthétique interrogative que les mots que je cherche dans la complexité des sociétés et des cultures. Réf : Courriel 15/09/2024 |

Référence : 22457 Titre : Il n'y a pas de progrès en art Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Série Sorbonne 9/9 Dimensions 141 x102 Signature signature au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Paris, La Sorbonne – Journée d’étude « Les arts sont toujours premiers », 10 février 2025 Bibliographie Il n’y a pas de progrès en art, mais l’art change le monde par divergences successives de ses histoires périphériques et métropolitaines : animiste, polythéiste, théologique, politique, anarchiste, panthéiste, capitaliste, technoscientifique. Féministe, écologique, participatif, postcolonial, cancel culture, l’art sociologique est devenu planétaire, appelant à la fondation d’un Musée interrogatif. Réf : Courriel 15/09/2024 |

Référence : 22458 Titre : Vive l'Ukraine libre ! Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dimensions 152 x 92.5 Signature signature au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Paris, La Sorbonne – Journée d’étude « Les arts sont toujours premiers », 10 février 2025 Bibliographie « Vive l’Ukraine libre ! ». Les traits jaunes sont les tirs de barrage des Ukrainiens contre les bombardements russes. Le QR devient un espace de guerre. Réf : Courriel 15/09/2024 |

Référence : 22459 Titre : Drapeau palestinien Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dimensions 152 x 92.5 Signature signature au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Paris, La Sorbonne – Journée d’étude « Les arts sont toujours premiers », 10 février 2025 Bibliographie Gaza, c’est une peinture que j’ai voulue douloureuse, déséquilibrée. Elle fait son travail. Écrasés par leur destin historique, les milliers de Palestiniens qui errent sous les bombes dans les ruines de Gaza le savent : « La destruction programmée de la Palestine n’est pas une fatalité ». Le vert est la couleur de l’espérance dans la Maison hachémite. Réf : Courriel 15/09/2024 |

Référence : 22462 Titre : 82 ans Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dimensions 152 x 152 Signature signature au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie C’est en regardant un documentaire sur O’Keeffe que j’ai décidé de reprendre mes pinceaux sur cette grande toile. Nécessité de peindre et faire le point de ma vie d’artiste. En cherchant à 83 ans une nouvelle liberté, la plus grande possible. Réf : Courriel 02/11/2024 |

Référence : 22463 Titre : Peindre Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dimensions 152 x 152 Signature signature au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Je ne peux plus me passer de peindre chaque jour pour lutter avec mes pinceaux et mes couleurs contre le crabe. Réf : Courriel 07/11/2024 |

Référence : 22464 Titre : L’art m’a sauvé la vie Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dimensions 92.5 x 92.5 Signature signature au dos de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Le poisson du fischer pris par le cancer est en danger de mort, mais la peinture lui sauve la vie et lui fait entrevoir un futur solaire. Réf : Courriel 11/11/2024 |

Référence : 22465 Titre : La mémoire longue oubliée Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dimensions 152 x 92.5 Signature signature et date en bas à droite de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie La mémoire longue (oubliée) Nous gardons une mémoire inconsciente, mais bien inscrite dans nos réseaux neuronaux, des événements marquants de notre vie, dont les émotions ressenties alors se réactivent en cas de nouvel événement comparable, et qui formatent nos nouvelles émotions, déterminant notre gouvernance. C’est ce qu’affirme la mythanalyse et que je ressens en repassant ma vie au crible de mes souvenirs qui me reviennent avec l’âge. Réf : Courriel 17/11/2024 |

Référence : 22466 Titre : L'énigme Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dimensions 152 x 152 Signature signature et date en bas à droite de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Tous les accès à l’énigme de l’univers et de la vie, dans leur immense diversité historique et sociologique sont fermés. C’est mieux ainsi, impliquant notre responsabilité humaine dans le sens joyeux et éthique qu’il faut donner à nos vies. Réf : Courriel 21/11/2024 |

Référence : 22467 Titre : Peindre pour combattre Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dimensions 152 x 152 Signature signature et date en bas à droite de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie J’avais besoin d’un nouveau grand (pour moi) défi pour me motiver à lutter contre la maladie. Réf : Courriel 26/11/2024 |

Référence : 22468 Titre : 28/11/24 Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dimensions 92.5 x 152 Signature signature en haut de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Le 28/11/24, j’attendais avec espoir et anxiété, dans un état d’esprit compliqué, contradictoire et incertain le diagnostic des oncologues ; malgré toute mon énergie face au cancer, il s’est soldé de façon mitigée. J’espérais vers le soleil (le V de mon prénom et de la victoire), mais cela n’a pas suffi, la réalité terrestre est demeurée pesante comme la gravité et mon espoir est retombé. Je suis à droite après le 28, cette petite boule bleue qui flotte dans le lac. Cette ligne droite verticale marquant le 28, c’est aussi une limite dans mon aventure artistique, que j’ai franchie me libérant dans une tension extrême, explorant désormais une peinture autobiographique, narrative, existentielle en pleine couleur. Réf : Courriel 30/11/2024 |

Référence : 22469 Titre : Portrait de Catherine, la planète bleue Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dimensions 92.5 x 92.5 Signature signature et date au dos de la toile | Provenance Collection particulière Catherine Vamos Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Au dos de la toile : Portrait de Catherine Le ciel avec un vol de chérubins. Ginette dans un portrait est solaire. Les 4 chérubins aux points cardinaux. Lucas en bas à droite. Ginette côté droit. Suzanne et Thomas les pouces croisés. Hervé en haut à gauche. Réf : Courriel 01/12/2024 |

Référence : 22470 Titre : Faire son cinéma Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dimensions 152 x 152 Signature signature et date en bas à droite de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Chaque malade le sait : il se fait son cinéma en se plaignant, en affrontant vaillamment le méchant, pour lui-même et pour les autres, espérant la guérison. Réf : Courriel 08/12/2024 |

Référence : 22471 Titre : La divergence Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dimensions 152 x 152 Signature signature et date en bas à gauche de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Je l’affirme à la tronçonneuse, me libérant des hauts et des bas de la maladie pour trouver inégalement selon les jours l’énergie de ma guérison. C’est la spéculation du cancéreux. Réf : Courriel 18/12/2024 |

Référence : 22472 Titre : Toi et moi (avec Amandine Fischer) Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dimensions 92.5 x 92.5 Signature signature en bas à droite de la toile | Provenance Collection particulière Observations Toile créée avec Amandine Fischer. Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Toi et moi J’ai proposé à ma petite-fille Amandine de peindre un tableau ensemble. Elle est revenue avec un titre : Toi et moi. Elle a suggéré que nous peignons chacun notre arbre, avec nos mains en racines et l’échange joyeux de nos feuillages et de nos racines. Ce fût un grand moment. Et des applaudissements en famille à l’occasion du sapin de Noël. Réf : Courriel 17/12/2024 |

Référence : 22474 Titre : L'évasion Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dimensions 152 x 152 Signature signature en bas à droite de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Le « crabe écrabouillé » comme le veut son destin a subi son sort dans le bas terreux du tableau. Réf : Courriel 23/12/2024 |

Référence : 22475 Titre : Cogito Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dimensions 152 x 152 Signature signature en bas à droite de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Je suis allé jusqu’au bout de la crise. Peignant « Le virtuel » je me suis cogné la tête contre une vitre. Mes pinceaux ont pris le pouvoir furieusement. Après 2024, je l’espère, ça ira mieux. Réf : Courriel 28/12/2024 |

Référence : 22476 Titre : L'échappée vers 2025 Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dimensions 152 x 152 Signature signature en bas à droite de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie Croire au progrès de la volonté, aussi spéculative que la Bourse. Réf : Courriel 31/12/2024 |

Référence : 22473 Titre : Les rêves Date : 2024 Technique : acrylique sur toile Famille/Série Dimensions 152 x 152 Signature signature en bas à droite de la toile | Provenance Collection particulière Observations Crédit photo Laurence Honnorat/Innovaxiom Expositions Bibliographie La nostalgie fœtale solaire des rêves, me libère de la gravité grave et pesante. Réf : Courriel 28/12/2024 |